Le 1er novembre : quand il est bienvenue de cracher sur la France

Alors que nos politiques s'empêtrent dans leur incompétence et leur faiblesse, la société française est en train d'imploser sous la pression d'une immigration incontrôlée et du culte de la culpabilité. Culpabilité d'être soi. Nous sommes de plain-pied dans la période du "Blanc est coupable", ce qui a pour effet de mettre le feu aux poudres - dans un pays historiquement blanc. Non sans la pleine participation de certaines élites fanatiques, parfaitement couvertes par le Président de la République lui-même. Les peuples ne survivent pas toujours à la trahison de leurs élites, il serait bon de s'en souvenir.

Difficile d'en dresser la liste, mais retenons deux évènements parfaitement représentatifs de l'ambiance délétère en France aujourd'hui. Alors que des centaines de nos compatriotes ont été lâchement blessés ou tués ces dernières années dans des attentats terroristes, qui n'ont rien du jambon-beurre, mais toujours au nom d'Allah, cette pseudo-élite politique dominante, qui n'a plus ni le cran, ni la force d'assumer la conduite du pays, mais ne veut pas lâcher un morceau de gâteau encore apetissant, nous appelle à manifester pour les pauvres amis musulmans, par trop stigmatisés par les méchants blancs. Cette hypocrisie est évidemment couverte par le culte de la tolérance et s'appelle en Novlangue lutte contre l'islamophobie. Il est vrai qu'aujourd'hui toute réflexion dubitative au sujet de la montée de l'islam politique est estampillée "islamophobie". 

Beaucoup moins relayée par les médias, car certainement ne portant ni la bonne couleur, ni la bonne religion, la manifestation du 17 novembre contre l'islamisme.

En effet, pourquoi se gêner quand le Chef de l'Etat montre lui-même la voie. Quand il ne félicite pas le peuple de France avec la Toussaint et préfère féliciter les Algériens, avec l'indépendance et la Toussaint rouge, marquée par le massacre de Français.

Il aurait pu, pour la Toussaint, adresser ses voeux les plus sincères au peuple français et rendre hommage à son esprit de responsabilité en cette période cruciale pour son avenir. Il aurait pu nous souhaiter de relever par le dialogue et le respect les défis futurs. Mais non, il rend hommage au peuple algérien. Le message est passé. A Paris :

Avec ces paroles de l'hymne algérien qui résonnent dans les rues de Paris : 

Ô France ! le temps des palabres est révolu
Nous l'avons clos comme on ferme un livre
Ô France ! voici venu le jour où il te faut rendre des comptes
Prépare toi ! voici notre réponse
Le verdict, Notre révolution le rendra
Car nous avons décidé que l'Algérie vivra
Soyez-en témoin ! Soyez-en témoin ! Soyez-en témoin !

Ces paroles qui résonnent comme une insulte à notre pays et à notre peuple, une insulte portée par un Président, français, qui signe, persiste et déclare :

Je préfère avoir des gens qui viennent de Guinée ou de Côte d'Ivoire légaux, qui sont là et qui font ce travail, que des filières bulgares ou ukrainiennes clandestines. 

Un Président qui préfère le noir au blanc, on l'avait déjà remarqué. Poussant à l'absurde : comment l'immigration clandestine peut venir de Bulgarie si le pays fait partie de l'Union européenne ?

Mais il eut été préférable que ses goûts personnels restent - justement - personnels. C'est-à-dire qu'ils n'engagent que lui et non pas le pays.  Car les effets sont terribles. Cette nuit à Chantloup les vignes, des policiers tombent dans un geut-apens, pour ensuite essuyer des tirs ... de mortiers! 

Où est le problème, c'est la tendance.

Pourquoi se gêner, si la République abdique ? Pourquoi se gêner s'il n'est plus possible de critiquer les choix dangereux qui sont faits en matière d'immigration de masse sans être accusé de racisme ? Pourquoi se gêner s'il est impossible de parler de religion - chrétienne, au nom d'une laïcité qui exclue de son champ l'islam ? De toute manière, les attaques d'églises et de cimetières ne déplacent ni la presse, ni les élus. Voici comment, en plus de la manifestation algérienne, s'est aussi passée la Toussaint au cimetière de Cognac en Charentes :

Et pendant ce temps-là, nous continuons à nous interroger sur les chances de Marine Le Pen à faire gagner Macron aux prochaines élections ... La capacité de la majorité des Français à confortablement se cacher derrière un relativisme bon ton est vraiment désespérant.