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vendredi 5 juillet 2019

Soros revendique les manifestations en Géorgie pour une rupture totale avec la Russie



Chaque fois que des populations se soulèvent, la tentation est grande d'y voir l'ombre de Soros. A tel point que cela en devient dérangeant : n'y a-t-il donc plus aucun mouvement populaire qui ne soit véritable ? Les hommes sont-ils à ce point devenus faibles, qu'ils ne soient plus capables de se soulever pour une idée, qu'ils ne puissent être menés que comme des boeufs, la corde accroché à un cou entravé ? Il semblerait en effet que la Géorgie n'échappe pas à cette valse nauséabonde des marionnettes. Des publications intéressantes sur le site de Soros en Géorgie appellent à lutter contre la Russie et contre ce gouvernement qui aurait trahi les intérêts du pays en n'étant pas suffisamment russophobe. Publications signées par des associations auprès de l'ONU et de l'OTAN. Pour ceux qui croient encore aux fables de l'indépendance des peuples, lorsque l'éducation et la culture ont été réduites à néant.

jeudi 4 juillet 2019

Quand le Royaume-Uni craint un véritable monitoring de la Crimée



A l'ONU, le Royaume-Uni demande de laisser passer une mission d'observation internationale en Crimée, créant par là même un problème là où il n'y en a pas. Au-delà des petites sorties de communication politique, c'est l'institution même de l'observation internationale qui retient notre intérêt. Ainsi, certains pays autodéclarés hautement démocratiques se sont reconnus le droit de juger du niveau démocratique d'autres pays et de décerner des "certificats" de bonne conduite. De la bonne conduite à l'allégeance, il n'y a qu'un pas. Celui là-même qui sépare l'observation internationale de la tutelle.

mardi 2 juillet 2019

Le Lotus camp pour enfants de Donetsk : que se cache-t-il derrière ?



Un camp de vacances, en soi, pourquoi pas. Mais à Donetsk, alors que les frappes militaires ukrainiennes reprennent, cela semble suffisamment étrange pour s'y intéresser. Que se cache-t-il derrière le Lotus kids, la question reste ouverte.

lundi 1 juillet 2019

La question du rapatriement des familles de djihadistes : l'hypocrisie de part et d'autre d'un choix non assumé



Depuis une année environ, en fait depuis que les terroristes perdent militairement la guerre en Syrie grâce à l'aide apportée par l'armée russe, la question de l'avenir de ces djihadistes, donc terroristes, et de leur famille se pose. Sur ce point, la France tient une position rationnelle : rapatriement au cas par cas. Mais les médias et les structures des droits de l'homme forcent un rapatriement massif. Oubliant que toute liberté, tout choix implique la responsabilité de ses actes. Oubliant que tout Etat est en droit de déterminer les priorités de sa sécurité nationale.