Le problème du coronavirus est qu'il n'est pas particulièrement résistant, l'été arrive et selon les virologues son intensité va chuter, avec ou sans vaccin. Une si belle mécanique de transformation totalitaire de la société est en route, les populations sont à point, elles demandent elles-mêmes à sacrifier leur liberté, l'homme à genoux ose à peine lever les yeux vers le soleil, l'on ne va pas s'arrêter en si bon chemin pour une question de calendrier. Il nous faut un risque estival, afin de faire le lien en attendant l'automne et la prochaine saison naturelle des virus. Pour les populations prennent leurs habitudes carcérales. Et que l'on puisse les y aider. Pour leur bien. Puisque l'on n'envisage aucunement la restauration des services publics, notamment hospitalier. La Chine est décidément notre planche de salue : un homme est mort du hantavirus. Ca tombe bien, celui-ci est surtout efficace en été ... Comme écrivait La Boétie, "Les tyrans ne sont grands, que parce que nous sommes à genoux".
Lorsqu'une mécanique hystérique se met à ce point en route, elle ne peut pas s'arrêter parce que sa raison première d'être, en tout cas celle officiellement annoncée, se trouve dépassée. Or, les virologues annoncent la chute de l'impact du coronavirus pour l'été, de manière naturelle. Il suffit de voir comment la pression, la terreur s'insinue dans les populations. Il suffit de voir comment les pouvoirs occidentaux ne mettent en place aucun plan de sauvetage des services publics, notamment du service de santé. Il suffit de voir comment, en revanche, les gens sont stigmatisés : si le virus se propage, c'est leur faute, c'est leur très grande faute, c'est parce qu'ils ne sont pas totalement terrés, enfermés, c'est parce qu'ils existent finalement. Ce n'est pas parce que le service public hospitalier est en lambeau, ce n'est pas parce que les Etats ne peuvent plus protéger leurs frontières, ce n'est pas parce que les pouvoirs ont décidé de faire une croix sur leur souveraineté médicale au profit des multinationles. Bref, ils sont responsables de leur malheur, qu'ils subissent, se taisent et remercient encore qu'il existe des dirigeants pour s'occuper d'eux.
Quand le fanatisme est en marche, ce qui est le cas, il ne s'arrête pas. On doit l'arrêter. Donc l'homme est un danger - contre le fanatisme lorsqu'il garde sa liberté d'esprit, contre lui-même lorsqu'il se laisse diriger par ses peurs ancestrales.
Le coronavirus n'étant pas éternel, une suite commence à faire son apparition, le hantavirus. Lui aussi vient de Chine, où un homme est mort dans un bus, cette fois-ci dans la province du Yunnan.
«Le #Hantavirus est apparu pour la première fois dans les années 1950 lors de la guerre américano-coréenne en Corée (fleuve Hantan). Il se propage par les rats ou souris si les humains ingèrent leurs fluides corporels. La transmission interhumaine est rare», a tweeté la scientifique suédoise, le Dr. Sumaiya Shaikh.
Rare. Le coronavirus qui existe depuis les années 30 (lui aussi au départ détecté sur les animaux) n'avait pas non plus retenu particulièrement notre attention jusqu'à peu. Que le moment soit venu. Et l'hantavirus sévit déjà :
Les symptômes peuvent survenir jusqu’à huit semaines «après une exposition à de l’urine fraîche, des excréments ou de la salive de rongeurs infectés», a précisé le centre, notant qu’il peut parfois aussi provenir de piqûres de rats ou de souris infectés.Les hantavirus aux Amériques sont appelés hantavirus du « Nouveau Monde » et peuvent provoquer le syndrome pulmonaire des hantavirus (HPS). D’autres hantavirus, appelés hantavirus « de l’ancien monde« , se trouvent principalement en Europe et en Asie et peuvent provoquer une fièvre hémorragique avec syndrome rénal ( HFRS).Il peut provoquer un syndrome pulmonaire à hantavirus (HPS) et une fièvre hémorragique avec syndrome rénal (HFRS). Globalement, les symptômes reflètent ceux signalés par le nouveau coronavirus. Les personnes atteintes signalent de la fièvre, des maux de tête, de la toux et un essoufflement.« Il n’y a pas de traitement, de guérison ou de vaccin spécifique pour l’infection à hantavirus », a averti le centre américain, affirmant que les patients ont souvent besoin de soins intensifs pour « les aider à traverser la période de détresse respiratoire sévère ».
L'hantavirus présente en plus le grand intérêt ... de se développer dans les climats chauds. Donc, sa période faste, c'est l'été. La tyrannie de la peur est à ce point devenue une norme, "post-démocratique" (pour ne pas dire anti-démocratique) que la réalisation du risque (en l'occurrence sanitaire) ne sera bientôt plus nécessaire, l'existence de la possibilité, l'existence d'un risque potentiel, va bientôt permettre de légitimer l'adoption de mesures liberticides, des mesures de privation de liberté, afin d'éviter la réalisation de ce risque. Afin de vivre longtemps ... enfermé. Afin de ne plus être malade ... en public. Une vie de souris de laboratoire en cage.
Puisqu'aucun programme de sauvetage de l'Etat n'est prévu, qu'un service public, hospitalier, ne peut être réanimé quand le corps de l'Etat est mis volontairement à l'agonie, préparons-nous à de longues périodes d'isolement. C'est le traitement qui nous est réservé. Puisque nous l'avons accepté, presque exigé.
C'est le traitement dont nous bénéficierons, si nous abandonnons notre liberté au nom d'une prison d'éternité. Car chaque année, et maintenant chaque saison, a ses virus. Il y aura toujours une raison pour enfermer le peuple. En attendant qu'une nouvelle société fantasmée émerge de ce chaos, émerge de ces esprits malades et fanatiques.
Si nous les laissons faire. En politique comme en ménage, chacun occupe l'espace que l'autre lui laisse occuper. Si nous n'exigeons pas de l'Etat qu'il remplisse ses fonctions, nous acceptons que le pouvoir se comporte comme un geôlier.
PS: Puisque le temps nous en est donné, c'est le moment idéal pour lire à nouveau le Discours de la servitude volontaire de La Boétie.
"Il y a en l'homme une préférence pour la servitude volontaire, pace que la servitude est confortable et qu'elle rend irresponsable"Soyez responsables !
Merci pour cet excellent article. J'espère que vous n'êtes pas visionnaire sinon on est mal mis.
RépondreSupprimerOn est déjà mis à fond.. manquerait plus qu'on soit mal mis!... Non mais si ces prévisions se vérifient, si vraiment c'est ça le projet (et c'est ca bien sûr) je ne donne pas cher de leur peau. C'est une image. Quite a y laisser la mienne. Une image encore ha ha!
SupprimerHélas, quelle tristesse ! Le psychose alimentée par les médias et les politiques nous font perdre la raison, si jamais raison il y avait !!!
RépondreSupprimerNous vivons aujourd'hui comme aux siècles d'antan! Allons-nous connaître aussi un bond en arrière sur le plan sociétal ?
Comme aux siècles d'antan ? Je crois que c'est pire "grâce à" la technologie dont les médias.....
SupprimerVoici une émission instructive, un peu longue mais que je conseille vraiment d'écouter :
RépondreSupprimerhttps://www.kla.tv/Coronavirus-fr/15965
SELON MOI LE VIRUS EST UN PRÉTEXTE !
RépondreSupprimerLe gouvernement est en train de violer les libertés fondamentales du citoyen avec l'assentiment du peuple français lui-même !
FRANCAIS RÉVEILLEZ-VOUS !
Après avoir conditionné nos esprits à accepter l'atteinte à la liberté de pensée et d'expression, sous couvert de ceci ou de cela, aujourd'hui nos maîtres passent à l'étape supérieure en enfreignant notre liberté de circulation...
Insidieusement les manipulateurs au pouvoir veulent faire de nous des pions de plus en plus dociles.
Comprenez que ce virus est un prétexte, une aubaine pour nos gouvernants cyniques qui ont trouvé là un moyen de pression idéal afin de nous asservir encore plus efficacement, nous le peuple de France. Avec notre propre consentement, ce qui nous donne l'illusion que nos marionnettistes agissent pour notre bien !
Tout ce cirque, au final, dans le dessein d'exercer leur domination perverse sur notre pays, l'assujettir à leur idéologie étatique dictatoriale.
Restriction de nos libertés essentielles, infantilisation, enfumage et diversion de nos esprits, détournement de notre attention pour nous faire oublier les vrais problèmes... Bref, tentative de lobotomie générale à coups de matraquages médiatiques soutenus par une coercition policière implacable, omniprésente.
Le but de tout cela ? Nous ramollir les cerveaux pour, dans un second temps, nous faire avaler sans broncher les pires aberrations politiques...
Après cette épreuve, il sera évidemment plus facile de nous faire bouffer à la tonne du migrant, de la diversité, du féminisme, du transgenre ou autres infamies du même tonneau...
Quel meilleur électrochoc, afin de mater un prisonnier récalcitrant, qu'un bon séjour au cachot pour lui faire apprécier le retour dans sa cellule ordinaire ?
C'est exactement ce qui se passe avec les français en ce moment.
Compatriotes, ouvrez les yeux !
Certes je peux me tromper... Il est permis de douter de ce que j'avance... La suite des événements dira si j'ai raison ou si j'ai tort. Mais pour l'heure, je reste sur mes gardes.
Restez vigilants vous aussi.
Le virus actuel fait beaucoup plus de peur que de mal, masque la réalité des ondes (bien plus toxiques) et de l'emprise totalitaire, mais qui s'effondre ! Un signe positif dans cette manipulation pas encore reussie.
RépondreSupprimerLa situation actuelle me fait penser à la controverse qui a opposé Voltaire et Rousseau lors du séisme de Lisbonne en 1755.
RépondreSupprimerCôté Voltaire : c'est la fatalité, une calamité divine, on n'y peut rien, soumettons-nous.
Côté Rousseau : si l'Homme ne s'était pas installé dans une zone à risque sismique, il n'y aurait pas eu autant de victimes. Responsabilisons-nous.
Transposition à l'époque actuelle :
le camp voltairien affirme que le virus est le Mal, qu'il faut le combattre, qu'il est la source de tous nos maux sans qu'on sache d'où il sort, c'est comme ça. Autrement dit, la source de noms maux est exogène à notre système, alors acceptons et attendons que ça passe, dans la peur et la soumission.
Côté "rousseauien", ceux qui remontent aux racines de la catastrophe et rappellent que si le système de santé, l'industrie et l'agriculture (et plus largement les services publics) n'avaient pas été systématiquement détruits depuis des années, on serait sans doute mieux équipés pour faire face. La source de maux est endogène au système, ce qui nous redonne le pouvoir de choisir et la responsabilité.
L'impéritie et les fraudes du gouverne et ment français ont maintenant une plus large audience : https://asiatimes.com/2020/03/why-france-is-hiding-a-cheap-and-tested-virus-cure/
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