Publications

mardi 10 novembre 2020

Biden / Trump : le tribunal médiatique contre la justice


Le spectacle des élections américaines continue à mettre en échec l'objectivité de nos médias, qui, majoritairement rangés derrière le clan globaliste Démocrate, réécrivent le processus électoral pour faire de Biden un vigoureux vainqueur et de Trump un perdant perdu et abattu. Puisque d'un côté vous avez des manifestations organisées sur le modèle des révolutions de couleurs avec des félicitations anticipées des pays satellites, parfaitement dociles, jouant le rôle de la légitimation internationale et de la grande famille. Quand la famille prime le droit, cela s'appelle la mafia. De l'autre côté, un combat juridique, demandant un recompte et une vérification des votes et le Département de la Justice qui tente de normaliser juridiquement, autant que cela soit possible aux Etats-Unis, un processus non pas archaïque, mais parfaitement adapté à la manipulation pour "corriger" le vote populaire en cas de désaccord avec les élites. Ce à quoi nous assistons avec la mise en scène d'une victoire de Biden.

Biden ne cesse de faire des promesses, le nucléaire avec l'Iran, les traités sur les armements avec la Russie, le climat, le covid. Bref, il y en a pour tous. Et les médias, dans une oraison coordonnée, l'appellent le "président élu" alors que le décompte n'est pas terminé dans plusieurs Etats et qu'il est contesté dans d'autres.

Ainsi, l'on voit deux cartes de résultats différentes, avec des couleurs pourtant semblables, mais des mises en perspective idéologiquement orientées. Au choix, vous avez CNN donnant Biden, en projection, gagnant avec 279 contre Trump toujours bloqué à 214 et des attributions donnant l'impression de donner du temps à l'arrivée de nouveaux bulletins par la poste.


Sur un site alternatif, Real Clear Politics, s'en tenant aux résultats à ce jour proclamés, Biden est en avance, mais n'a pas obtenu les 270 votes nécessaires à la victoire :


Car si l'on fait des projections, Biden et Trump sont très proches dans certains Etats en attente de résultats, depuis une semaine quand même, comme l'Arizona attribué en perspective à Biden, alors que la dynamique montre une remontée de Trump et des résultats bloqués à 98%, qui traînent : Biden à 1 648 642 et Trump à 1 633 896. Combien de temps faut-il pour compter des voix - sans manipulation ? Car la courbe de décompte stagne depuis des jours :

Les groupes de soutien de Trump s'étonnent également de l'absence de réactivité des médias dans leurs projections en ce qui concerne des Etats, où il est en tête ou bien dans lesquels la dynamique lui est favorable : en Alaska, Trump mène avec 62% des voix et en Caroline du Nord avec 50,1%. Il est vrai que cela permet de donner l'impression d'un arrêt de Trump, pendant que Biden continue à avancer - politico-médiatiquement.

Alors que les pays et structures satellites, comme l'UE, félicitent Biden pour sa victoire, ou encore le maire de Londres, qui n'a pas apprécié les critiques de Trump à son égard, au Sénat américain, l'on attend la fin des démêlés judiciaires et des opérations de dépouillement. Le président de la majorité républicaine a déclaré refuser de féliciter Biden, puisque Trump est en droit de contester les résultats dans plusieurs Etats.

Senate Majority Leader Mitch McConnell (R-Ky.) in a lengthy floor statement Monday declined to congratulate Joe Biden or recognize him as the president-elect and instead defended President Trump’s legal fight against ballot counts showing him behind in key states.

“Obviously no states have yet certified their election results. We have at least one or two states that are already on track for a recount and I believe the president may have legal challenges underway in at least five states,” McConnell said.

L'intervention du Département de la Justice, cette nuit, est à ce sujet très importante : désormais, il est possible de vérifier les fraudes, qui semblent avoir une importance sur les résultats, avant l'annonce officielle de ces résultats dans chaque Etat. Suite à quoi, de manière surprenante, le responsable dans ce Département pour les élections a démissionné. Surprenant, car pour la lutte contre la fraude et la confiance de la population dans les résultats, c'est un pas important. Une fois les résultats annoncés, l'opinion publique se forme à l'égard d'un candidat. Remettre en cause sa victoire est politiquement délicat et peut provoquer une instabilité. Il est beaucoup plus logique de vérifier les situations réellement litigieuses et ayant des conséquences sur la victoire électorale avant, et non pas après, l'annonce officielle des résultats.

Sauf si l'on veut justement manipuler les élections. Or, c'est bien la question centrale. Il ne s'agit pas de soutenir l'un ou l'autre candidat, mais de soutenir des élections libres et honnêtes, non pas des élections qui manipulent l'opinion publique quand celle-ci n'est pas conforme à l'élite. Sinon, la votation populaire n'est plus l'expression de la volonté populaire conformément à laquelle les organes de pouvoir doivent être constitués et les grandes lignes de la politique nationale décidées, mais un instrument de légitimation du pouvoir d'une minorité puissante contre la majorité.

D'un autre côté, si Trump ne peut pas remporter cette victoire contre le clan Démocrate, il ne pourra, de toute manière, pas gouverner le pays. C'est un combat fondamental pour briser l'emballement globaliste qui détruit nos Etats.

PS : La Russie n'a pas félicité Biden, arguant à juste titre que des recours ont été déposés et qu'il faut attendre la fin des opérations.


 











4 commentaires:

  1. Les médias américains sont tout-puissants et leur choix est fait, ce sera Biden/Kamala Harris. Malgré les fraudes et les recomptages qui vont suivre, Trump n'arrivera pas a renverser la situation.

    RépondreSupprimer
    Réponses
    1. Trump a toutes les preuves rien ne manques. Et vous oubliez une chose très importante, l'armée, si Trump malgré les preuves ne passe pas, eux prendrons le pouvoir et tout ceux qui on falsifiés et tout les corrompus seront arrêter pour haute trahison, c'est une certitude.

      Supprimer
    2. malheureusement ce n'est ps une certitude. l'armée n'a pas arrêté de désobéir à Trump, comme vient de l'avouer benoitement un haut responsable. à propos de l'étendue de la fraude, qqes articles intéressants sur le site lesobservateurs.ch dont celui-ci : https://lesobservateurs.ch/2020/11/14/etats-unis-la-plus-grande-fraude-electorale-de-lhistoire/

      Supprimer
  2. La chine vient de reconnaitre Biden...

    RépondreSupprimer

L'article vous intéresse, vous avez des remarques, exprimez-vous! dans le respect de la liberté de chacun bien sûr.