Alors que les populations sont maintenues dans un état d'effarement, pudiquement caché derrière le voile du virus le combat géopolitique pour l'avènement de la globalisation et contre la Russie s'intensifie. La Grande-Bretagne, qui avait déclaré la Russie menace nationale jusqu'en 2030, envisage de rétablir les stratégies militaires de la Guerre froide. Ainsi, pour être apaisées, les relations internationales doivent être "atlantisées".
La "menace russe" est un slogan qui ne faillit pas, toujours à propos, toujours utile. En l'occurrence, la Grande-Bretagne argue du possible déploiement par la Russie de ses nouvelles armes à Kaliningrad, pour se lancer dans une étrange escalade d'annonces, comme si sérieusement, l'on pouvait penser que la Russie pourrait envisager d'attaquer l'Europe ...
Ainsi, dans un article sorti le 20 juillet dans The Telegraph, l'on apprend que l'armée britannique se prépare à reprendre la stratégie militaire de la Guerre froide, consistant à utiliser les aéroports civils pour y déployer les chasseurs Typhoon. Comme le déclare le chef de l'armée de l'air, si les chasseurs sont déployés sur 12 aéroports, ils seront des cibles moins faciles pour la Russie. Il est impératif de sous-entendre dans cette logique que la Russie pourrait, comme ça, car un matin son Président se réveillerait de mauvaise humeur, lancer quelques-uns de ses nouveaux missiles sur la Grande-Bretagne depuis Kaliningrad. Evident.
Et pour enfoncer le clou, notre ami Michael Wigston d'insister :
"Il nous est impératif de considérer la situation actuelle comme un défi pour notre sécurité nationale et d'étudier la liste des pistes d'atterrissage que nous possédons en Grande-Bretagne. Cela sonne un peu comme à l'époque de la Guerre froide, mais nous sommes obligés de nous rappeler comment agir dans ce contexte."
Les conflits géopolitiques n'ont pas pris fin avec l'émergence d'un virus global, qui tend pourtant bien de fondre dans un magma unique, atlantiste et globaliste, les intérêts nationaux au nom d'une Guerre Sainte Sanitaire, menée contre les peuples et contre les Etats souverains. Et l'on voit bien par cet exemple, que l'esprit de la guerre froide domine toujours les relations internationales Ouest-Est.
L'Angleterre, combien de divisions? S'imagine t-elle faire peur à la Russie en déployant ses chasseurs Typhoon? Elle est en retard d'une guerre la pauvre.
RépondreSupprimeron a bien compris que le virus a été crée pour pouvoir combattre en paix la russie et la chine
RépondreSupprimerExactementet pour instaurer la gouvernance mondiale mais d'abord, ils doivent réussir à nous soumettre avec le pass sanitaire, la pénurie alimentaire et la crise économique artificielle pour justifier le passage à la crypto et etc...il faut les arrêter. En France, les Français sont exemplaires; Martine Wonner vient d'annoncer que la garde républicaine ne protège plus Macron car elle a démissionnée. À suivre..
Supprimeril est difficile de savoir si le pouvoir de l'occident se trouve en israel ou en angletere ou aux usa, car les anglais continuent à crâcher contre le vent
RépondreSupprimer...yep, un très gros virus global de propagande inouïe...avec la précieuse aide de la Russie la psyop a le vent en pupe...
RépondreSupprimerBonsoir,
RépondreSupprimerIl faut bien comprendre que, aujourd'hui, il y a un seul cador dans la cour de récré et c'est la Russie. Si on ajoute qu'elle est en train de nettoyer la Syrie de la présence des troupes spéciales occidentales, notamment britanniques, on comprend la rage (impuissante) des anglois. Ils vont donc s'agiter, montrer le point, provoquer et retourner à la niche. Le monde a changé.
Les Atlantistes n'ont toujours pas abandonné le programme utopique de première frappe massive et immédiate, sorti tout droit du "génie" des think tanks néo-conservateurs financés par l'industrie de l'armement, et qui, croient-ils, assurerait la saturation des systèmes de défense russes et donc leur incapacité à lancer une réplique conséquente.
RépondreSupprimerIllusion !
Le concept, qui semble sorti des divagations d'un Dr Strangelove attardé, a pourtant mené à l'abandon par George W. Bush du traité ABM en 2002, puis du traité Ciel ouvert et de celui sur les armes intermédiaires FNI avant de menacer le traité START, heureusement reconduit pour cinq ans.
Compte tenu de la montée en puissance de la Russie et de la Chine, les États-Unis et leurs alliés seraient incapables de soutenir une guerre conventionnelle pendant un certain temps et aussi loin de leurs territoires, de sorte que le monde serait à grand risque qu'ils se tournent vers les armes nucléaires plutôt que d’accepter la défaite honnête de leur entêtement.
Si les Atlantistes prenaient en considération les réalités géostratégiques plutôt que leur aveuglante Destinée manifeste, il y a longtemps qu'ils auraient ouvert un canal de discussion voué à la négociation rationnelle et à l'apaisement.
Peut-être faudra-t-il couler le prochain navire qui bravera les eaux territoriales russes pour mettre un peu de plomb dans la tête de ces inspirés, ceux que désignait le sens original du mot latin "fanaticus".
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Bellefontaine
Guerre froide UK contre Russie :
RépondreSupprimerIl y a 3 faits qui montrent que Boris Johnson prend ses désirs pour des "raies alitées" :
1 – La Russie : pays le plus grand du monde avec 11 fuseaux horaires, les plus grandes réserves minérales et énergétiques de la planète, une population modeste en proportion (140 millions et des poussières), aucune dette actuellement et l'armée la plus nombreuse, la plus préparée et la mieux équipée du monde, n’en déplaise aux pro-atlantistes.
2 - La Chine : pays champion de la transformation des matières premières, passé du bas de gamme aux technologies de pointe dans tous les domaines, et un PIB en PPA 20 % supérieur à celui des USA...donc pays le plus riche de la planète, avec cependant une population nombreuse (plus de 10 fois supérieure à celle de la Russie).
3 - La Russie et la Chine ont décidé de dormir dans le même lit. Ces deux pays combinent donc chacun leurs points forts, et sont en train de construire le centre de gravité économique du monde de demain.
4 - Conclusion : s'imaginer comme BoJo qu'on peut chatouiller ce bloc et ne pas se prendre une gigantesque baffe en retour est une énorme plaisanterie qui ne peut sortir que d'un cerveau tellement formaté qu’il ne comprend plus rien à la géopolitique d’aujourd’hui. Il s’est d’ailleurs fait tirer les oreilles « off the record » par son ministère de la défense et celui de ses affaires étrangères après avoir donné l’ordre contre l’avis des généraux de chatouiller l’Ours Russe en Mer Noire récemment, à quelques encablures de la Crimée.
Bref, BoJo, c’est le prototype du gamin qui fait joujou avec des allumettes dans un entrepôt d’explosifs. Il ferait mieux d’aller chez le coiffeur plus régulièrement et passer plus de temps à corriger les erreurs hallucinantes qu’il a commises pendant sa gestion de la crise du Covid dans son propre pays.
PS : un exemple des délires de BoJo sur sa gestion du Covid en UK :
Supprimerhttps://francais.rt.com/economie/88957-royaume-uni-pingdemic-menace-approvisionnement-supermarches
On est dans le délire psychiatrique le plus complet..Les députés et sénateurs français essaient de faire pareil en ce moment avec des lois purement nazies (mise ne danger de la vie d'autrui pour un café bu en terrasse avec 15,000 € d'amende). Je ne suis pas devin, mais je prévois pour septembre un début de guerre civile en France...surtout quand on sait que le variant Delta du SARS-cov2 est très peu pathogène (rhinites, diarrhées) et pourrait même être immunogène contre les formes existantes de Covid (bref le Delta = vaccin naturel, gratuit et efficace).
Ça s'appelle se constituer des boucliers civiles. Ils appliquent la stratégie de leurs élèves islamistes syriens?
RépondreSupprimerLa Grande-Bretagne ?! C'est bien l'île au nord ouest du continent appelé europe qui avec quelques missiles bien placés sur quelques endroits géologiques pourrait disparaître dans les flots comme un remake des récits de l'atlantide ?
RépondreSupprimerNon répondez pas au point d’interrogation j'ai regardé sur une carte c'est bien ça la Grande-Bretagne.