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mercredi 8 octobre 2025

La centrale nucléaire de Zaporojie sous attaque ukrainienne : une véritable réaction de l'AIEA serait la bienvenue


Cela fait plus de deux semaines que la centrale nucléaire de Zaporojie est en régime d'urgence, suite aux tirs constants de l'armée atlantico-ukrainienne. L'AIEA constate, rassure et ne voit pas d'où viennent les tirs. Un tel aveuglement est criminel, car les conséquences humanitaires peuvent être très sérieuses. Mais cela n'intéresse pas les Globalistes, ils ont besoin d'accuser la Russie.

En raison des tirs constants de l'armée atlantico-ukrainienne en direction de la centrale nucléaire de Zaporojie, son alimentation électrique est assurée par des générateurs diesel depuis le 23 septembre. Pour l'instant, les réserves sont suffisantes pour assurer le fonctionnement de la centrale et éviter une catastrophe, d'une ampleur non négligeable.

Si la sécurité de la centrale est garantie, en revanche de nombreux habitants de la région se retrouvent eux sans électricité. 

La veille de la venue de Grossi, le directeur de l'IAEA, la centrale a encore été ciblée. Comme l'a souligné le Président Poutine :

Mais M. Grossi était là, et des responsables de l'AIEA sont présents. Ils restent silencieux, gênés, en fait, par ce qui se passe, mais tout le monde voit ce qui se passe. Alors, est-ce que nous lançons des frappes nous-mêmes ? C'est absurde.

En effet, Grossi a noté la présence de tirs à proximité de la centrale :

L'équipe de l'AIEA a entendu plusieurs tirs d'artillerie entrants et sortants à proximité du site de la centrale nucléaire. La direction de la centrale a déclaré avoir enregistré deux tirs à une distance de 1,25 km du périmètre de la centrale.

Pour autant, ils se refusent à condamner l'armée atlantico-ukrainienne. Et ce faisant, ils cautionnent ce qui se passe.

Comme l'a déclaré Andreï Kartapolov, député et président du Comité de la Douma pour la Défense, la Russie elle ne frappe pas les sites nucléaires, ce qui ne veut pas dire qu'elle n'agisse pas :

Nous ne frapperons, ni Tchernobyl, ni aucune autre centrale nucléaire, car nos principes l'interdisent. Car des civils pourraient en souffrir. Mais nous frapperons là, où ce sera le plus douloureux pour le régime de Kiev, comme nous le faisons actuellement : les centres d'entraînement, les sites de production, la logistique et le fret. Car chaque frappe réduit les armes et les équipements ennemis et permet à nos troupes de progresser, accomplissant ainsi les missions de l'Opération militaire spéciale. 

L'armée atlantico-ukrainienne est dans une impasse : pour reprendre l'avantage sur le terrain, elle est obligée d'impliquer directement les troupes de l'OTAN en quantité importante, ce qui signifie passer à une confrontation directe ouverte avec la Russie, qui alors sera en droit de répondre. Or, les pays de l'OTAN n'y sont pas prêts et ils ont peur d'une véritable réponse de la Russie. Les Globalistes tentent, en attendant de se décider, de provoquer une catastrophe, qu'ils pourraient imputer à la Russie, pour renforcer son image "d'ennemi" dans l'opinion publique occidentale. 


2 commentaires:

  1. les organismes internationaux liés aux intérêts états-uniens sont toujours reconnus comme caution de bonne foi par les russes ?

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  2. Les occidentaux sont de mauvaise foi ou pour certains projettent leur masochisme sur les Russes. Quoi de plus normal que de détruire sa propre économie ou ses propres infrastructures ? La géopolitique actuelle doit être mise à jour par des apports psychiatriques pour créer une nouvelle discipline : la géopsychopathologiepolitique.

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