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vendredi 9 avril 2021

Billet d'humour : Quand Merkel supplie Poutine de suivre, comme l'Europe, la voie coloniale

Délégation militaire américaine arrivée dans le Donbass

Faut-il en rire ou en pleurer ? Peut-on réellement prendre cela au sérieux ? Sincèrement, j'hésite en entendant Angela Merkel, qui a quand même un certain bagage politique, voire un bagage certain, demander à Vladimir Poutine, qui n'est pas non plus un débutant, de retirer les forces armées russes, présentes en Russie, mais trop proches, à son goût, de la frontière ukrainienne. L'Allemagne, et l'Europe, ont-elles à ce point pris le pli des pays occupés, ne pouvant plus disposer de leurs forces armées, qu'elles sont choquées de voir un pays, autre que les Etats-Unis bien sûr, pouvoir souverainement décider de l'emplacement et du déplacement de son armée sur son territoire ?

Certes, nous vivons dans un monde qui se veut global. Donc dans un monde, qui ne doit avoir qu'un seul centre décisionnel. Si d'autres centres apparaissent, si les Etats-satellites ne s'exécutent pas, n'importe lequel, même le plus petit car c'est une question de principe, ce monde est en péril. Et avec la Russie, qui est loin d'être le plus petit des Etats, ce monde global a de sérieux problèmes - elle a vraiment prix le goût de la souveraineté. 

Tout a commencé par une conversation téléphonique en Merkel et Poutine, pour parler des sujets d'actualité, notamment du Donbass. Version russe du communiqué - Poutine a fait savoir à Merkel que l'Ukraine commettait beaucoup de provocations, Merkel est contre une escalade du conflit.

Mais le communiqué allemand a ensuite lancé un rocher dans la mare et tous les canards ont fait un bon : Merkel a demandé a Poutine de retirer les forces armées russes de la frontière avec l'Ukraine, afin de ne pas aggraver le conflit.

Bref, quand la Russie a voulu lisser les rapports diplomatiques par un communiqué conciliant, l'Allemagne, elle, a voulu souligner l'existence du conflit des visions entre la Russie d'une part, et l'Allemagne d'autre part. Mais l'Allemagne n'est ici que le porte-parole d'un discours qu'elle ne maîtrise pas.

Peu avant, les Etats-Unis, la Grande-Bretagne et le Canada, accompagnés pour le continent européen de la Lituanie et de la Pologne, se sont déjà déclarés inquiets de l'intensification de l'activité militaire russe à la frontière. A la frontière, mais du côté russe ...

Le porte-parole du Kremlin avait déjà rappelé que la Russie, comme pays souverain, disposait librement de son armée sur son territoire et que cela ne présentait pas une menace pour ses voisins. Puisque l'armée restait sur son territoire - justement.

La réaction de l'Allemagne est très symptômatique de ces pays en Europe, habitués à accueillir, sans avoir trop le choix sous couvert de l'OTAN, des armées étrangères, principalement anglo-saxonnes, de le remercier pour leur "protection", de les prendre en charge. Bref, ces pays ont pris le pli des pays occupés face à un occupant, chez lui chez eux. Ils sont donc extrêmement surpris que la Russie ose disposer de son armée en fonction de ses intérêts nationaux.

Mais la montée des tensions conduit la Russie à préciser sa position par des déclarations de plus en plus engagées, puisque la communication est le premier stade de la guerre, permettant aussi d'épuiser certains conflits en testant la détermination de l'autre. Car si tout le monde a envie de gagner, peu ont le courage de prendre le risque de se battre.

Ainsi, Segueï Lavrov, ministre des Affaires étrangères, déclarait que les Etats-Unis et leurs alliés ne sont pas des partenaires fiables, qu'il est impossible de leur faire confiance. Ajoutant que si la Russie est avec l'Europe, elle ne le sera pas à n'importe quel prix.

Dmitri Kozac, vice-président de l'Administration présidentielle en charge du dossier, a enchaîné les mises au point. Ainsi, si l'Ukraine commence les hostilités dans le Donbass, il annonce la fin de l'Ukraine. Car si la population sur place est en danger, la Russie ne pourra rester sans réagir, même si a priori, elle ne veut pas porter atteinte à l'intégrité territoriale ukrainienne. Pour l'instant, ce qui se passe dans le Donbass est plus une opération de comm, selon lui, qui imite la guerre, mais pas une véritable guerre. Il est d'ailleurs regrettable que la France et l'Allemagne ne soient pas intéressées par un règlement du conflit dans le Donbass.

Que la France et l'Allemagne soient ou non intéressées par la paix dans le Donbass n'a finalement que peu d'importance, puisque ce sont des pions, des pions importants mais des pions, non pas des joueurs. Ils ne décident pas de leur politique, ils ne peuvent alors prendre de décisions et n'ont pas les moyens de leur volonté, même s'ils ont une volonté politique. C'est pourquoi Merkel peut être envoyée s'abaisser à demander à la Russie de retirer, chez elle, sur son territoire, ses troupes pour les mettre là où elles ne dérangeront pas ceux qui ont le droit de décider de leurs mouvements militaires, à savoir principalement les Etats-Unis, avec le premier cercle qu'est le Canada et la Grande-Bretagne. C'est pourquoi ces pays se sont prononcés. Et les pays européens, occupés et soumis, colonisés, suivent.

Et ce matin, un groupe militaire américain, sous la direction de l'attaché militaire, allait inspecter le front, alors que Zelensky y est. Mais cette visite, certainement pour Merkel, ne présente aucun risque d'escalade ...

La Russie n'a, à ce jour, pas répondu à cet affront. Mais que dire ? La conversation a eu lieu, les messages sont passés. La meilleure réponse est justement d'ignorer ces effets de manches et de s'occuper du mouvement de ses troupes en fonction de ses propres intérêts. Ce qu'elle fait. Ainsi, les choses sont remises à leur place.



19 commentaires:

  1. "Faut-il en rire ou en pleurer ?"
    Vietnam:
    Зеленский и вьетнамские флэшбеки
    https://colonelcassad.livejournal.com/6689126.html

    KG.

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  2. Je pense qu'on a le droit de demander à un pays de retirer ses troupes pour diminuer la tension. On ne demande pas en fait une zone démilitarisée mais de baisser le nombre. On peut par exemple demander à Kiev de retirer ses chars de la ligne de contact du Donbass, alors qu'ils sont eux aussi bien chez eux. La mauvaise foi de Merkel est de tenir responsable la Russie de la hausse des tensions, en faisant cette demande.
    Bien à vous

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    1. Le décret signé le 24 Mars par est absent des médias français, ce qui explique peut être pourquoi vous ne le citez pas...
      Les mouvements de troupes en Russie (Crimée et frontière avec le Donbass) font suite à ce décret.
      Ci-dessous une traduction (DeepL) du document publié en Anglais sur ce site:
      https://www.ukrinform.net/rubric-polytics/3214479-zelensky-enacts-strategy-for-deoccupation-and-reintegration-of-crimea.html

      KG.
      ---------------------

      Le Président de l'Ukraine Volodymyr Zelensky a promulgué la Stratégie de désoccupation et de réintégration du territoire temporairement occupé de la République autonome de Crimée et de la ville de Sébastopol.
      Le décret n° 117/2021 du 24 mars sur la promulgation de la décision pertinente du Conseil de sécurité nationale et de défense a été publié sur le site Internet du chef de l'État, rapporte Ukrinform.

      "Approuver la stratégie de désoccupation et de réintégration du territoire temporairement occupé de la République autonome de Crimée et de la ville de Sébastopol", indique le document.

      Comme indiqué, la stratégie définit un ensemble de mesures diplomatiques, militaires, économiques, informationnelles, humanitaires et autres visant à rétablir l'intégrité territoriale et la souveraineté de l'Ukraine à l'intérieur de ses frontières internationalement reconnues par la désoccupation et la réintégration de la Crimée.

      Le document identifie également les priorités de l'État pour protéger les droits de l'homme et les libertés violées en raison de l'occupation temporaire de la péninsule de Crimée, ainsi que les principaux domaines de la politique économique, sociale, humanitaire, environnementale, d'information, de défense et de sécurité.

      En outre, comme le souligne le bureau du président, la stratégie envoie un signal clair à la communauté internationale que l'Ukraine est cohérente dans ses actions pour restaurer l'intégrité territoriale, violée par la négligence de la Fédération de Russie de ses obligations internationales.

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    2. Je vous invite alors à demander au régime de Washington de retirer ses troupes d'occupations du Japon, de la Corée du sud, de l'ouest du continent Europe, de l'Irak, de la Syrie, etc. bref de partout où ce régime colonialiste autoritaire occupe militairement des territoires autres que les USA.

      Vous pouvez même demander à ce que le régime de Washington se retire des USA et laisse enfin ces terres aux amérindiens ou à minima que ces amérindiens puissent librement voter pour leur autodétermination en tant que peuple.

      Peut être une fois cela fait cela aidera à faire baisser ce que vous appelez des 'tensions' et permettra à d'autres peuples comme les Russes de se dire que la paix est possible avec le régime de Washington.

      En attendant les Russes font ce qu'ils veulent surtout si c'est pour défendre des Russes et leur droits légitimes en tant que Russes de vivre sur leur terre et le Donbass fait partie de leur terre depuis des siècles comme la Crimée.

      Ah et demandez aussi à votre guide suprême de la colonie de Washington du nom de France de retirer aussi ses troupes des territoires qui ne sont pas Français, comme la Corse et la Bretagne par exemple.

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    3. Prenez le temps de lire et de comprendre ce qui est écrit avant de répondre à côté de la plaque. Je suppose que la première réponse voulait me signifier que l'Ukraine est l'instigatrice du conflit, ce que je dis bien dans mon commentaire (dernière phrase). Et je suppose que la deuxième réponse voulait m'instruire que l'OTAN est hypocrite en pointant la Russie, ce que je dis également (la dernière phrase également). Faut savoir lire chers commentateurs.

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  3. L'Allemagne est occupée mais pas innocente : elle ne peut espérer récupérer ses territoires de l'Est donnés essentiellement à la Pologne, et marginalement à la Lituanie et à la Russie, que par l'écroulement/soumission de l(actuelle fédération de Russie.
    Elle reste donc un ennemi mortel au delà des intérêts économiques communs avec la Russie (Northstream etc...), tout comme son compère la Turquie (Turkishstream etc...).
    Merkel n'est donc pas qu'une marionnette des anglo-américains, mais aussi la représentante actuelle de l'état profond allemand qui dirige de fait une UE / "4e Reich" plus vaste et durable que l'éphémère 3e.

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  4. Si elle continue, Frau Merkel va demander à Herr Putin d'aller aux toilettes à certaines heures et de porter des tenues plus colorées. Se rend-t-elle compte du ridicule de la situation ou est-elle atteinte par une maladie neuro-dégénérative bien cachée ? LOL.
    Ce qui est sûr, c'est que le premier qui s'avise de faire la guerre à la frontière russe va se prendre la déculottée de sa vie. La Mer Noire en fait partie. Avis aux amateurs.

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  5. « L'art de la guerre est de soumettre l'ennemi sans combat. » — Sun Tzu

    Les guerres ne débutent pas par le premier coup de feu, mais par des mots. Et c'est bien à ce stade que se trouve la relation Russie-UE. Le plus étrange et le plus inquiétant à mes yeux est que l'UE gesticule beaucoup sans agir vraiment, ce qui me semble masquer le manque flagrant d'une politique commune et cohésive.

    Angela Merkel est devenue en quelque sorte un canard boiteux depuis qu'elle a annoncé son départ de la vie politique et, en se retirant progressivement de son rôle de chef d'État, elle affaiblit temporairement l'Allemagne qui se met à la recherche d'un nouvel équilibre en politique intérieure. Ainsi, elle ne peut jouer avec autorité son rôle de moteur économique et politique de l'UE. Mais n'est-ce pas précisément que l'Allemagne développe des relations normales avec la Russie en entraînant l'UE à sa suite que craignent les euro-atlantistes ?

    Comment interpréter la demande de Merkel à Poutine, de retirer ses forces armées de la frontière avec l'Ukraine afin de ne pas aggraver le conflit, si ce n'est de reconnaître implicitement qu'elle a besoin de son aide sans avouer que la politique européenne en Ukraine est défaillante au point où elle risque de mener au chaos. Car c'est clairement ce qui se dessine avec le fol entêtement de Zelensky.

    Peut-être a-t-on omis que Vladimir Poutine est aussi maître de sambo, une discipline d'auto-défense sans arme, et que jusqu'ici, il n'a eu besoin de menacer personne ni d'engager le moindre bataillon pour établir sa position de force. On verra où tout ça mènera si on est assez bête pour le pousser à agir.

    On peut toutefois spéculer. Moscou serait en mesure d'exécuter un mouvement à la Sun Tzu sans être attiré dans une guerre chaude dans le Donbass. Si Kiev lançait une offensive, Moscou pourrait annoncer illico qu'il utilise la pleine autorité conférée par le Conseil de sécurité de l'ONU pour appliquer le cessez-le-feu des accords de Minsk 2 et il aurait les moyens de l'imposer.

    Vladimir Poutine ne deviendrait-il pas le défenseur effectif de l'Europe devant Washington et l'OTAN qui la poussent au conflit ? N'ont-ils pas déjà fait de l'Ukraine un État failli ?

    Mais ce n'est que spéculation.

    _________________
    Bellefontaine

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    1. "Si Kiev lançait une offensive, Moscou pourrait annoncer illico qu'il utilise la pleine autorité conférée par le Conseil de sécurité de l'ONU pour appliquer le cessez-le-feu des accords de Minsk 2 et il aurait les moyens de l'imposer."
      Tout à fait d'accord avec vous sur ce point. Une telle action, restant dans le cadre des accords de Minsk, priverait l'OTAN de tout prétexte pour une escalade. Son impact symbolique serait néanmoins énorme. Je pense que la Russie a les moyens d'imposer une "no flight zone" de fait au-dessus des deux 'républiques' sans franchir sa propre frontière, et de fournir à leurs forces terrestres un appui d'artillerie écrasant. Un tel plan respecterait le principe militaire d'économie des moyens en n'obligeant pas la Russie à se lancer dans une conquête de l'Ukraine, intention qu'elle a toujours nié.

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    2. Imposer le cessez-le-feu prévu aux accords de Minsk 2, entérinés par le Conseil de sécurité de l'ONU et dont la Russie est le garant, n'est qu'une hypothèse qui me semble conforme à la philosophie et aux déclarations du Kremlin qui rejette toute intention belliqueuse envers l'Ukraine.

      En outre, il faut rappeler que Vladimir Poutine a déclaré formellement qu'il n'abandonnerait pas le Donbass et il n'est pas homme à renier sa parole. Or quand le dialogue est impossible et que les actes d'agression délibérés comme les attaques contre des civils se multiplient, le champ des possibles se restreint et le devoir d'agir augmente — la semaine dernière, un enfant est mort et sa mère envoyée à l'hôpital après avoir été atteints par un engin explosif largué par un drone; la semaine précédente, un homme de 71 ans a été abattu chez lui d'une balle dans la tête par un sniper ...

      Quant à la supériorité des arme russes, elle n'est plus à démontrer. Même le général John Hyten, vice-président des chefs d'état-major interarmées US, a confirmé en 2018 qu'il faudrait une bonne décennie pour les arriver à les contrer. Le système S-400 peut à lui seul assurer un déni d'accès et une interdiction de zone (A2/AD) sur la moitié sud de l'Ukraine et l'ensemble de la mer Noire.

      Imposer un cessez-le-feu me semble la meilleure solution pour éviter un embrasement et des pertes de vie inutiles quand celui d'en face ne veut rien entendre au dialogue et à la paix.

      _________________
      Bellefontaine

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  6. Le danger pour la paix mondiale c'est l'"Empire", les USA qui ont besoin d'utiliser et vendre leurs armes et qui multiplient les provocations belliqueuses.
    Après s'en être pris à l'Iran, à la Russie et à la Chine ils viennent de provoquer l'Inde en faisant naviguer dans ses eaux un navire de guerre sans la prévenir.

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  7. Les Etats-Unis voient dans la guerre à laquelle ils poussent l'Ukraine l'occasion d'affaiblir EN MEME TEMPS la Russie et l'Allemagne.
    Merkel doit s'en rendre compte, mais comment empêcher le cours des événements puisqu'ils sont décidés par l'Empire dont l'Allemagne est une colonie?
    Notons que Macron suit sans états d'âme la ligne américaine en s'écartant de l'Allemagne: pas de NS2, pas de vaccin russe, soutien plein à l'Ukraine... peut-être rêve-t-il d'être vice-calife pour l'Europe à la place de Merkel ?!
    Le monde occidental va vraiment de désastre en désastre.

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  8. Zombi or not to be, that is the answer. Ils vont bombarder le gazoduc et on les applaudira.

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  9. Ma vision est que l'occident est en faillite économique, démographique, culturelle, ... la seule solution est un grand reset... Macron a dit que la situation pourrait ne pas lui permettre de se représenter... état d'urgence suite à une guerre.

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  10. Merci pour tes articles, mon commentaire sur l'image,
    sous les casques il ne doit y avoir grand chose !!!
    Peuple russe taper fort du poing sur la table des négociations.Les Yankees dehors ...

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  11. il y une photo avec un plan plus large ,de la délégation de la visite de Zelensky et ses complices us, oh surprise, un drapeau allemand flotte au vent sur un des positionnement de l'armée ukrainienne, mais il y a un petit problème, il date du 3 ème reich (ref: Erwan Cassel). Si il y a quelque chose à retirer ,reichfuhrer Merkel, c'est peut être cela?

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  12. Une photo souvenir pour Brittany Stewart:
    US defense attache Col. Brittany Stewart pays tribute to the grave of #Ukraine Right sector DUK #neonazi Slipak
    https://twitter.com/Malinka1102/status/1380555940597006336

    KG.

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  13. mishkalashnikov Ne confondez pas tout !!!
    Les Corses sont des celtes tout comme les bretons et la base du peuple français (dit de souche). Par contre dans une vie anterieure j' ai eu l' honneur de faire partie de l' armée Russe (impériale) vous tenez vraiement a ce que j' explique comment on traitait les tribus non blanches en perpetuelle rebelion ???

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  14. La Russie, avec son calme habituel, déplace tranquillement ses pions et provoque l'hystérie en Occident - Là, il n'y a vraiment rien de neuf. Mais au fait, en Occident, souhaite-t-on une guerre avec la Russie ou bien seulement la poursuite d'une deuxième guerre civile en Ukraine ? Et Minsk-2, qui s'essuient les pieds dessus ?

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