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mardi 11 mai 2021

Billet du jour : Le monde d'après ... c'est celui-ci


Nous entendons souvent parler du "monde d'après". Il y aurait un "avant-Covid" et un "après-Covid". Pourtant, le voile de l'espérance se déchire de plus en plus, en voyant perdurer ces mesures liberticides, à l'impact sanitaire douteux, en voyant ces mesures s'installer pour devenir la nouvelle norme sociale. Chers Amis, le "monde d'après", c'est celui-ci, c'est le monde du covid. Et il durera tant que nous serons massivement soumis, tant qu'aucune force politique ne pourra remettre en cause cette dérive dictatoriale globaliste et porter nos espoirs. D'ailleurs, le New York Times l'affirme dans son édition d'aujourd'hui - "Le monde risque de devoir apprendre à vivre avec le virus". Aucun "autre monde" d'après n'est donc envisagé.

Les impératifs du nouveau monde sont déjà en place, reposant sur l'écrasement des populations, l'instrumentalisation des Etats comme structure d'implantation des décisions prises par des structures globales et le transfert du pouvoir économique à des structures transnationales. Et les normes sociales, et non sanitaires, sont déjà intégrées par une grande majorité de la population: masque, test, distance sociale, vaccin. Les 5 piliers du monde actuel.

Le processus est en route, le covid est une occasion à ne pas rater, la prise en main des populations, la mise en état de choc général fut d'une efficacité redoutable, les gouvernants déjà pris dans l'engrenage global ont servi de relai et les gens, en général, s'interrogent pour savoir quand ils auront leur vaccin, où ils trouveront assez de masques, comparent les avantages relatifs des différents types de masques et les prix des tests divers et variés.

Autrement dit, les populations, en général, ne remettent pas en cause le monde d'aujourd'hui, ils veulent confortablement se faire tondre, que la lame ne les égratigne pas trop, pour le reste, ils s'adaptent.

Ce monde du covid s'installe dans la durée, impose ses nouvelles normes sociales. Et il est là pour longtemps. Comme le souligne cet article du New York Times d'aujourd'hui intitulé :

"The world may need to learn to live with the virus."

En effet,  comme tout virus, il mute. La grippe est là depuis une éternité et le monde ne s'est jamais arrêté de tourner pour elle, les vaccins ne l'ont évidemment pas éradiquée. Et le covid fait d'ailleurs de moins en moins de morts officiels et estampillés, ce qui finalement ne change rien à l'ingénierie sociale en cours. L'on nous annonce le Covid for Ever:

Experts now say it is changing too quickly, new more contagious variants are spreading too easily and vaccinations are happening too slowly for herd immunity to be within reach anytime soon.

That means if the virus continues to run rampant through much of the world, it is well on its way to becoming endemic, an ever-present threat.

Le Covid s'installe et ce monde devient le fameux "monde d'après", principalement pour deux raisons. Comme nous l'avons dit, parce que la soumission des populations a été acquise, suite à l'effet de choc de mesures inédites en temps de paix et le développement d'une propagande mortifère constante, qui n'épargne quasiment aucune zone géographique. Mais aussi, parce que les idéologues de ce "monde d'après" n'arrivent pas à l'accoucher, à proposer un modèle qui soit viable et acceptable par et pour les populations. La contrainte doit donc rester permanente, puisque les gens ne veulent pas déprimer chez eux au télétravail, que les enfants ont besoin d'aller à l'école et non pas de finir de se dégrader devant un écran, les bars et les restos ont besoin d'ouvrir puisque les gens ne commandent pas suffisamment à emporter, etc. et surtout les gens ont besoin de sortir, de danser, de chanter, de faire la fête, bref de vivre. L'homme est animal social et sa nature profonde ne peut être changée par quelques âmes instables,même si dirigeantes.

Devant l'impasse de l'impossibilité d'établir un monde d'après, qui finalement serait à s'y méprendre un monde d'avant avec 10 points de PIB en moins (solution inacceptable, car à quoi aurait servi tout ce cirque?), le monde d'après se réduit à ce magma actuel, entre sortie et reconfinement, ouverture des plages mais avec masque, vaccination obligatoire qui ne donne finalement aucun avantage, limitation des voyages en Europe avec possibilité d'indiquer tourisme comme fondement de circulation. 

Ce monde est une aberration, car c'est une sorte de monstre avorté, qui n'est pas arrivé à terme: monstrueux car inhumain, puisque construit contre l'homme; avorté, car primitivement fantasmagorique, donc non-viable.

Et c'est devant ce délire malsain que l'on est sommé de trembler ?

 

 


11 commentaires:

  1. En attendant le monde nouveau, voici le monde d'aujourd'hui sur une des places les plus célèbres du monde qui porte d'ailleurs le nom d'une couleur symbole en Chine de bonheur, de beauté, de vitalité, de chance, et de succès...avec un invité surprise :
    https://www.youtube.com/watch?v=1nznGJ_0nUQ
    (Note : une magnifique tringle à rideaux à l'échelle 1/10000ème sera offerte à celui ou celle qui trouvera en premier le nom du ruban orange avec des rayures noires qu'on voit fleurir un peu partout là-bas...).

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    1. Le ruban de Saint-Georges. Symbole de la victoire de l'Armée rouge sur l'Allemagne nazie ;-)

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    2. Bravo !!! Excellent !...Y'en a au moins un qui suit ! Saint Georges (de Lydda, d'origine grecque enterré en Palestine) symbolise la victoire du Bien (foi chrétienne) contre le Mal (le démon). Comme quoi, l'URSS a eu beau évacuer les symboles religieux de la Russie, ils sont revenus au galop...Ce qui est logique puisque Saint Georges est le saint patron de la chevalerie ...mais le pauvre athée que je suis doit oublier encore mille choses, et je laisse aux experts le soin de compléter ce rappel historique. ✌️

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  2. Le monde nouveau n'est rien d'autre que le début de la fin du néolibéralisme (initié par Thatcher, Reagan et Cie dans les années 80) qui a totalement échoué, comme vient de le faire remarquer l'économiste de Natixis Patrick Artus (https://www.youtube.com/watch?v=RUQKceqQYo8).
    Ce apparent suicide du néolibéralisme camouflé par un virus modifié permet de faire l'économie d'une crise énormissime en faisant rester les gens le plus possible à la maison pour que les banques puissent se refaire en matière de liquidités. Cela revient en gros à mettre le malade en coma artificiel ou à le gaver de morphine en attendant que son état s'améliore.
    Le virus a clairement été modifié, probablement par la CIA et le Pentagone qui sont abonnés aux coups tordus qui foirent et qui se retournent contre eux.
    Une fois que les gens qui obéissent sagement car en état de sidération (la peur est la meilleure arme pour assujettir un peuple) rependront leurs esprits, il y a gros à parier pour qu'un retour de balancier se produise. Ce retour est la guerre civile, et on commence à en voir les prémisses en France, dans les banlieues notamment.

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    1. Bonjour, d'accord avec la première partie de votre message mais il faut que nous restions concentrés car d'autres manipulations arrivent :
      - la guerre civile est la pire chose qui puisse arriver à une nation
      - Elle est méthodiquement préparée par ceux qui ne veulent jamais lâcher le pouvoir et qui font tout pour exciter les communautarismes et encouragent l'anarchie des banlieues
      - un coup un attentat terroriste attribué à des musulmans ; un coup une église qui brûle
      - Puis des tribunes de militaires qui veulent rétablir l'ordre mais surtout ne dénoncent rien des dérives gravissimes actuelles et de la plandémie...
      La peur de la guerre civile est agitée pour mieux verrouiller le pays et éventuellement appliquer la loi martiale avec l'assentiment de la population manipulée...Tandis que la France se déploie militairement en Afrique et aux frontières de la Russie pour faire plaisirs à ses maîtres...

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    2. C'est une analyse pertinente en effet, merci de l'avoir partagée :)

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  3. Effectivement leur nouveau monde a beaucoup de mal à s'installer, c'est pour cela qu'il ont prévu un plan B qui commence par l'opération Orion !

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  4. On dit que le port du masque obligatoire dans le métro à Moscou: la Russie serait-elle entraînée dans l'ahurissante "dérive dictatoriale globaliste"? Qu'en pense la professeure invitée à l'Université d'Etat de Moscou?

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    1. Bonjour, comme je l'ai plusieurs fois écrit, la Russie n'est pas totalement épargnée par ces dérives globalises. Le port du masque est théoriquement obligatoire dans les transports et dans les magasins, ce qui a été justifié de manière ubuesque par la Cour suprême, mais personne ne vous oblige en fait à le porter ... Par ailleurs, ni confinements à répétition, ni couvre-feu, tout est ouvert et la vie se déroule normalement - surtout si l'on n'écoute pas la propagande pro-vaccin et SOS-Covid. Les gens, en général, s'en moquent. Il y a eu une fulgurante tentative IT-totalitaie lancée par le Maire de Moscou, mais la réaction sociale a été tellement forte, qu'il a été remis à sa place. Aujourd'hui, le Gouvernement condamne toute idée de pass sanitaire.

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  5. C'est un suicide humain préparé de longue main : de Malthus au club de Rome. Le reste est lié à un abêtissement médiatique presque séculaire maintenant. Les résistants se contentant de cliquer, ils y passeront comme les autres.

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  6. C'est un suicide assisté en fait. Je le constate quotidiennement autour de moi. Des personnes que je trouvais critiques et censees acceptent tout sans broncher. Jusqu'a donner leurs antecedants medicaux pour une sortie a venir d'un comité d'entreprise... "tant qu'on peut encore en profiter un peu" .

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