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lundi 22 mai 2023

Conflit en Ukraine : les F16 et la tentative des Atlantistes de faire sortir la guerre des tranchées


Après une mise en scène européenne, où la Grande-Bretagne présente "son" initiative d'une coalition internationale devant constituer une flotte aérienne militaire en Ukraine, les Etats-Unis donnent leur accord pour livrer des F16 et participer avec les Européens à la formation des pilotes. Mais aucune date n'est fixée. Peut-on dire qu'il y a une "escalade" du conflit ? Non, il y a une guerre. Et dans une guerre, les parties combattantes mettent en jeu tous les moyens qu'elles jugent opportuns pour remporter la victoire. Les avions de chasse sont logiquement de ces moyens. Ce qui ne veut pas dire que leur envoie, pas plus que les tanks, ne changeront le cours de la guerre, ne lui donneront une autre dynamique

Lors du sommet du Conseil de l'Europe en Islande, les Premier ministres britannique et néerlandais sont convenus de mettre en place une coalition internationale, devant permettre de fournir en Ukraine des avions de chasse, comme cela fut annoncé par Down Street le 16 mai au soir.

Réunis à l’occasion d’un sommet du Conseil de l’Europe en Islande, les deux hommes «sont convenus qu’ils allaient travailler ensemble pour bâtir une coalition internationale pour fournir à l’Ukraine des capacités aériennes de combat […], en allant de la formation à la livraison d’avions F16», a précisé Downing Street dans un communiqué.

A ce moment-là, les Etats-Unis ne se disaient pas encore prêts à fournir des F16 à l'Ukraine et la France et l'Allemagne avaient eu le bon goût de refuser à Zelensky lors de sa tournée européenne de livrer des avions de combat. 

Avec l'accord donné par Biden lors du G7, les Européens s'engagent à participer avec les Américains à la formation des pilotes ukrainiens. Pourtant, la tâche ne sera pas simple. Il faut une formation accélérée d'au moins 3 mois et une maîtrise de l'anglais. Certains doivent bien comprendre, que dans ce cas, il faudra en réalité envoyer des ressortissants européens ou américains, sous autre drapeau. Difficile de dire que l'on sente l'euphorie dans ces déclarations, particulièrement prudentes :

"Dans un premier temps, il s'agira d'une formation de base, au sol, mais qui pourrait évoluer par la suite", commente auprès de franceinfo une source proche du dossier. "Mais l'objectif, tout de même, est d'être opérationnel à la fin." Aucun détail n'a été communiqué sur les effectifs et les bases militaires concernés. Les candidats pilotes devront, en tout cas, avoir "une aptitude physique, un niveau d'ingénieur et parler un très bon anglais", estime Jérôme Pellistrandi, rédacteur en chef de la revue Défense nationale"

Le but de cette décision est de relancer un conflit, qui évolue très lentement au sol et ressemble de plus en plus à une guerre de tranchées. Pourtant, il serait naïf de croire que les avions de chasse changeront radicalement la donne. Les Atlantistes avaient déjà attendu avec les chars une grande offensive victorieuse de leur armée. Ensuite, les drones devaient la faire gagner miraculeusement. Enfin, les Patriots et autres systèmes de défense aérienne devaient protéger leur zone et réduire les capacités de la Russie. Rien n'a produit les effets attendus. Rien ne remplace les hommes. En tout cas, ceux qui se battent pour leur terre.

Même France Info a des doutes.

"La livraison d'avions de combat F-16 signera-t-elle le tournant militaire de la guerre en Ukraine ? Symboliquement, Volodymyr Zelensky a obtenu gain de cause sur ces aéronefs de fabrication américaine, réclamés par Kiev avec insistance depuis plusieurs semaines."

Victoire plus symbolique que militaire. Car il va falloir encore réaliser ces paroles et cela reste très floue. Toujours dixit France Info :

"Pendant que l'entraînement se déroulera ces prochains mois, notre coalition de pays participant à cet effort décidera quand fournir des avions, combien, et qui les fournira", a déclaré vendredi un haut responsable de la Maison Blanche, au moment où Joe Biden participait au sommet du G7 au Japon. Une phrase qui résume les zones de flou autour de l'annonce du président américain.

En plus de l'inconnu sur le temps de réalisation, reste également en suspens toute l'infrastructure de gestion de cette opération :

Puisque l'autorisation n'a pas été officiellement signée, la date de livraison fait aussi figure d'inconnue. A cela s'ajoute le délai de formation des soldats ukrainiens. "Les Etats-Unis ont fait une expérience sur simulateur avec deux pilotes ukrainiens. Ils les ont formés en quatre mois au lieu de 18. On va certainement compresser les durées de formation", anticipe Jean-Claude Allard. Mais le général prévient : "Il ne faut pas oublier que derrière, il y a aussi les maintenanciers (...) qui vont entretenir ces aéronefs. Il faut également préparer le matériel qu'on va livrer aux Ukrainiens".

La Russie a réagi en rappelant aux Atlantistes leur responsabilité, même si cela reste purement théorique:

“Nous voyons que les pays occidentaux adhèrent toujours au scénario de l’escalade. Cela comporte des risques colossaux pour eux”, a réagi le vice-ministre des Affaires étrangères russe, Alexandre Grouchko. “En tout cas, cela sera pris en compte dans tous nos plans, et nous avons tous les moyens nécessaires pour atteindre les objectifs fixés.”

 

Les Atlantistes, comme les Russie d'ailleurs, ne veulent pas entrer dans une guerre traditionnelle lourde, une guerre d'hommes, qui est pourtant à ce jour la seule manière de remporter les territoires. Alors, ils comblent et compensent, chacun à sa manière. Les Russes avec l'utilisation régulière des tirs de précision à distance, les Atlantistes en faisant la guerre par procuration à travers les Ukrainiens, le but étant de s'investir en homme au minimum. Cette configuration retenue conduit à un enlisement au sol du conflit, à une sorte de guerre de tranchées, qui demanderaient une autre volonté politique pour en sortir.  

 

28 commentaires:

  1. Tout ça c'est de la communication. Ils savent très bien qu'ils ont perdu. Mais il faut faire bonne figure jusqu'aux élections présidentielles sinon la fraude des "démocrates" sera trop visible.

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    1. Envoyer des armes ou pas ça ne changera rien sur le terrain et en plus ils ne verront jamais le tunnel de la victoire car les Russes sont là pour les empêcher de voir le bout du tunnel advienne que pourra

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  2. Depuis que le conflit avec l'Ukraine est engagé et son escalade avec la participation de l'OTAN, les paroles ont pris le dessus du côté atlantiste, alors que la réalité tê(tue) se déroule sur le terrain. Je n'ai pas encore vu la surpuissance de l'OTAN montrer son nez, hormis les sanctions économiques décidées contre la Russie dont les effets touchent plutôt leurs populations à eux.

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  3. ne veulent pas entrer dans une guerre traditionnelle lourde

    A voir..
    Tout le matériel lourd non nucléaire a été livré ou est en cours de livraison.
    Maintenant c'est au tour des avions.

    Avec ces avions ils tireront des missiles, et avec ces missiles, ils tueront des Russes en Ukraine et encore plus profondément en territoire russe.
    Si la Russie n'en a cure tant pis pour elle.
    Faudra pas pleurnicher : Belgorod, Rostov, Koursk bombardées, tant de morts X...

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    1. Mais arrêtez de vous faire peur, les russes ne sont pas les imbéciles que vous décrivez, ils savent très bien ce qu'ils font.

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    2. Les trolleurs et les pétroleurs du dimanche sont de sortie on dirait...LOL

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    3. Les hyper-zirconneurs aussi
      Re lol

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  4. Vous écrivez : "Les Atlantistes, comme les Russie d'ailleurs, ne veulent pas entrer dans une guerre traditionnelle lourde, une guerre d'hommes..."
    Pour ce qui est des Ukrainiens (ou des mondialistes qui les dirigent), le nombre de vies importe peu. Y aurait-il un objectif non avoué d'avoir le maximum de pertes ? Cette hypothèse est conforme aux faits constatés. Si tel est le cas, il serait logique que ce parti pousse à une escalade version : Verdun + Hiroshima.
    Mais deux difficultés se présentent :
    - l'économie occidentale tiendra-t-elle assez longtemps ?
    - les Russes joueront-ils le jeu de l'escalade
    La dépopulation est un art difficile pour l'élite Davosienne.

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  5. Israël possède des F16, des F-35, mais ça ne change rien, jamais ils ne s'aventurent dans le ciel syrien... ils tirent de temps à autres des missiles depuis le ciel du Liban (qu'ils violent impunément depuis des années), la plupart interceptés par la DCA de l'AAS..
    La tactique d'une attaque aérienne massive avec des jets pour bombarder des zones de guerres (cas de la Serbie, de l'Irak, de la Libye), ou des objectifs stratégiques, depuis des bases aériennes ou des porte-avions est révolue, elle est obsolète contre une défense aérienne efficace.
    Chaque système de défense type S-200 (actualisé), S-300, ou S-400 peut cibler simultanément 12 aéronefs... Quel pays serait assez "fou" pour exposer ses avions à une telle riposte, ce serait suicidaire.

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    1. Prions, puisque c'est tout ce que les Français sont capables de faire, pour que les manoeuvres de mi juin en EUrope avec les avions de l'OTAN soient une partie de colin maillard et non les préparatifs de la guerre totale des USA contre la Russie

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    2. c'est tout ce que les Français sont capables de faire

      Justement ils ont cessé de prier.
      Les églises sont vides, à part quelques vieux et quelques africains.
      La perte de la foi, est responsable de bien des choses qui arrivent aujourd'hui.

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  6. Le F16 est un superbe avion mais il est déjà vieux. Il est entré en service dans US Air Force il y a 45 ans et ses capacités, même augmentées de plusieurs améliorations comme un système radar des plus modernes, ne permettront pas de changer l'issue du conflit. Le F16 ne bénéficiera pas d'un réseau de cyberdéfense intégré lui assurant une protection minimale; il sera détecté et ciblé dès qu'il s'élèvera assez haut pour manœuvrer efficacement.

    Mais il pourrait bien changer la donne en minant encore plus la confiance des alliés de Washington. Après les résultats décevants des chars occidentaux, Himars, Storm Shadow et autres "armes révolutionnaires" qui n'ont rien changé, qui n'ont pas empêché les destructions à répétition de dépôts de fuel et d'armes, il faut se demander où on trouvera matière à nourrir de nouvelles illusions quand le premier F16 sera abattu. Notons que Washington se garde bien d'engager ses propres appareils.

    L'escalade du conflit se poursuit sans que l'Occident lève le pied de l'accélérateur dans sa fuite en avant. Mais les pays de l'OTAN feraient bien de se demander ce que vaut l'assurance tout risque du "parapluie nucléaire" dans leur imaginaire, et si les États-Unis tiendraient leurs promesses advenant que leur propre sécurité soit exposée à une telle menace. Ce ne serait pas la première fois que Washington laisse tomber un allié.

    Lors de sa sortie dans la partie occidentale de l'océan Atlantique, en janvier dernier, la frégate Amiral Gorshkov a effectué avec succès un exercice de tir du missile hypersonique Zircon par modélisation informatique. Les Américains ne peuvent ignorer le message qui leur fut transmis ni fermer les yeux sur les performances imparables du Zircon.

    Comme dans tous les conflits, la première ligne du front est financière, le "nerf de la guerre", alors que la seconde ligne repose sur le soutien de l'opinion publique. Or si la première ligne financière montre déjà ses limites, on voit de plus en plus poindre dans l'opinion une défiance et un doute sur l'issue du conflit; on ne croit plus aux contes de fées et on sait qui paiera la note au final. Et ce n'est pas le maquillage médiatique qui changera les réalités qu'on ne peut plus cacher. On a fait de l'Ukraine trou noir en Europe et il faut espérer que certains Ukrainiens, à qui on a promis une victoire rapide sur la Russie grâce aux sanctions magiques, ne reviennent à Bruxelles exiger qu'on règle les comptes.

    L'espoir fait vivre paraît-il, mais il peut aussi tuer.

    ________________
    Bellefontaine

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    1. 100 % d'accord avec vous. Les vieux F-16 seront "offerts" par les différents pays de l'OTAN, avions dont l'état réel et la maintenance peuvent susciter un questionnement légitime. On peut ajouter que la formation de pilotes sur ce genre d'appareils se fait habituellement sur deux ans environ, avec des pilotes déjà aguerris. Espérer faire la même chose en 4 mois avec des pilotes ukrainiens (dont le niveau interroge au vu du nombre de chasseurs abattus aisément par l'armée russe jusqu'à maintenant) relève de la science-fiction. J'espère pour ces "heureux élus" qui courent à une mort certaine qu'ils disposeront d'un siège éjectable en état de marche et de parachutes sans micro-déchirures repliés dans les règles de l'art. Avec les Ukrainiens, leurs combines et la corruption massive qui règne là-bas, ce n'est franchement pas du luxe de se poser la question. :)

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    2. La pensée magique et l'optimisme ne sont pas des stratégies valables pour l'Ukraine, la négociation est de loin préférable ... si on se soucie d'épargner les vies.

      La revue Military Watch aborde la question du F-16 avec plus de détails.

      Extrait :

      « Ainsi, si des F-16 étaient déployés en Ukraine, les États-Unis assumeraient le risque principal. Non seulement il est possible que le chasseur ou ses technologies tombent entre les mains des Russes, comme d’autres équipements occidentaux l’ont fait en quantités considérables, mais il y a aussi beaucoup plus de chances que les chasseurs subissent des pertes importantes à la fois lors de frappes sur leurs aérodromes et de combats aériens, ce qui porterait un coup majeur à la réputation du F-16. [...]

      « Contre l’armée de l’air russe, il y a une très forte possibilité que la classe [F-16] n’ait qu’une capacité de survie très limitée en raison de son manque de capacités furtives et de sa capacité limitée à engager des avions lourds haut de gamme dans la flotte russe tels que les Su-35, MiG-31 et Su-57. »

      https://militarywatchmagazine.com/article/us-reluctant-f16s-ukraine-euro-pressure

      ________________
      Bellefontaine

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  7. On peut inverser la donne: les Ukrainiens peuvent-ils tenir 50 Bakmut? L'OTAN me fait penser aux Japonais à la fin de la 2e guerre mondiale: attaques suicides.

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  8. Cher Anonyme, il faut vous mettre à jour.

    J'ignore où vous puisez vos infos mais, si vos sources sont fiables, elles devraient vous avoir signalé les bombes dirigeables de 500, 1 000 et 1 500 kg qui font des ravages dans les rangs ukrainiens, ou encore les bombes thermobariques TOS-1A qui sèment la terreur. Toutes ces bombes sont portées par l'aviation qui s'est de plus chargée de descendre 23 avions ukrainiens sur le seul front de Bakmut.

    Et vous oubliez les missiles Kinjal, Kalibr et Iskander et les drones de toutes sortes. Les tactiques de la Deuxième guerre sont révolues et il faut revenir aux objectifs russes dans ce conflit pour comprendre qu'il ne s'agit pas de prioriser le gain de territoire mais de détruire l'armée ukrainienne. Et c'est bien ce qui se produit jour après jour puisque l'objectif de Kiev étant de reconquérir les terres perdues, ses forces sont obligées de charger le front et c'est au minimum un bataillon (± 500 hommes) qui est sacrifié chaque jour. Les forces russes se chargent en plus d'anéantir les dépôts de fuel et de munitions aussitôt qu'ils sont constitués. Pourquoi croyez-vous que la contre-offensive annoncée depuis des mois tarde à s'articuler ?

    Je vous suggère de vous renseigner à d'autres sources que celles qui ne font que répéter la ligne de communication de Kiev. Croyez-vous vraiment que les forces russes sont à court de missiles et d'obus comme le répètent les médias occidentaux depuis un an.

    ________________
    Bellefontaine

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  9. BELLEFONTAINE : complètement d'accord avec vous.
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    Depuis décembre dernier les médias parlent de rupture imminente de stock d'armes russes, d'approvisionnement par l'Iran, ou encore par l'Afrique du sud, mais ce n'est pas vrai.

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  10. Nous ne connaissons pas les pertes matérielles de l'armée russe, mais si l'on en croit le Rapport du Ministère de la Défense de la Fédération de Russie sur l'état d'avancement de l'opération militaire spéciale au 22.05.2023 (14:45)* l'armée ukrainienne est en train d'être broyée menu. Il lui faudrait de nombreuses années pour se reconstituer tant en matériels qu'en personnels qualifiés !

    * Au total, 428 avions, 235 hélicoptères, 4 262 drones, 424 systèmes de missiles sol-air, 9 257 chars et autres véhicules blindés de combat,1 100 lance-roquettes multiples, 4 881 pièces d'artillerie de campagne et mortiers, et 10 379 véhicules militaires spéciaux ont été détruits depuis le début de l'opération militaire spéciale.

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    1. Cette armée ukrainienne qui n'en finit pas d'être broyée, mais qui se bat férocement pour chaque mètre, et qui attaque le territoire russe...
      Faudra nous expliquer ce tour de passe-passe intellectuel.
      On appelle ça du déni.
      Et rien de plus.

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    2. "se bat férocement pour chaque mètre" : moi je vois sur les réseaux de pauvres ukrainiens qui sont enrollés de force et envoyés sur le front sans formation, se faire hacher menu par les musiciens ou l'armée russe. Quant à "l'attaque" sur Belgorod, elle a eu lieu juste après la libération de Bakhmut (oh, comme c'est étrange!) uniquement pour détourner l'attention. Opération préparée par les américains qui savaient que Bakhmut ne pouvait être tenue. Opération qui a rapidement tourné court.

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  11. Belle fontaine je vous suggère de relire les allocutions de Poutine en février et mars. Les objectifs ne sont pas de "detruire l'armée irakienne" mais 1. de sauver les Russes du Donbass 2. De dénazifier ll'Ukraine. 3. De faire reculer les bases américaines de l'OTAN proches de la Russie. Vous croyez voir la victoire russe dans les reculs de l'armée russe, les chaînes Tme russes que je consulte ne pensent heureusement pas comme vous.
    J'attends de voir les ponts sur le Dniepr détruits pour entrevoir le sursaut russe. La victoire passe par une guerre CONVENTIONNELLE après cette opération spéciale qui a des difficultés.

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  12. @Anonyme23 mai 2023 à 19:23 :
    "Les objectifs ne sont pas de "detruire l'armée irakienne" mais 1. de sauver les Russes du Donbass " : que vient faire l'armée irakienne dans cette histoire ? Que signifie "les chaînes Tme russes" ? "cette opération spéciale qui a des difficultés" : quelles sont les difficultés en question ? C'est surtout l'Occident qui a des difficultés, qui a vidé tout son arsenal de guerre et dont les sanctions ont lamentablement échoué, sans parler des 400,000 morts côté ukrainien, autant de blessés et d'environ 20 millions de civils qui ont émigré en Russie, en Pologne, en Allemagne, et en France. Et pendant ce temps-là, l'économie russe fonctionne et fait de la croissance de richesses (selon le FMI). Bizarre pour un pays qui aurait des difficultés et qui serait selon vous léthargique ("le sursaut russe"). Ce commentaire ne me paraît pas sérieux, il va falloir élever le niveau, Camarade syndiqué.

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  13. Mais où sont les chars allemands aux doux noms de félins ?
    Léopards, guépards etc...
    Les blindés US Bradley n'ont pas été beaucoup vus non plus.
    C'est le moment de les sortir, s'ils veulent contre attaquer quelque chose nos braves Ukrainios.
    A moins qu'ils n'attendent les avions pour tenter un remake du blitz.
    Dans ce cas, leur attaque sera reportée à au moins l'année prochaine.

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  14. Mes manœuvres aériennes de l OTAN à mi mai prépareront une attaque massive contre la Russie. Les ânes batés du haut état major moscovite ne croient pas en l'aviation, le Pentagone y croit depuis longtemps
    Le vérité arrive
    S

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    1. haut état major moscovite ne croient pas en l'aviation

      ????
      Pas poussible

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  15. Charles Gave : Si on enlève le circuit « USA finance l’Ukraine pour s’armer, puis l’Ukraine qui achète des armes aux USA », on se rend compte qu’il y a une bidouille comptable pour faire accroître l’économie Américaine via les impôts des Américains qui finance l’industrie militaire Américaine.

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  16. J'ai lu quelque part, un commentaire lumineux, que le F16 était un vieux clou misérable.
    Old fashion.
    Pourquoi pas?
    On est ouvert à tout ce qui sensé et raisonnable ; faut pas mourir idiot après tout.
    Ceci dit... un vieux clou à 70 millions de dollars, doté de la technologie la plus récente.
    Un jet que le Turc Erdogan cherche absolument à moderniser et non à bazarder à la casse.
    Un avion également utilisé avec succès par l'aviation israélienne.
    Un avion qui a fait ses preuves, et que beaucoup d'armées achètent encore aujourd'hui; dont nos amis Polaks, probablement pour shooter du Russe.
    Un avion dont les prouesses au combat, notamment contre les jets soviétiques, penchent plutôt en sa faveur.
    Faut voir quoi, sans à priori...

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  17. Pendant la guerre Iran Irak , Saddam Hussein , allié de la france , avait acheté des avions Mirages ...
    Les pilotes Irakiens étaient encore en formation que la guerre allait déjà bon train . Pour répondre à l' urgence , l' armée organisa alors une opération secrète :

    Repeindre des avions français au couleurs Irakiennes et , de nuit , les expédier sur le théatre d' opération avec les pilotes français , les missiles / bombes ...
    Ils restèrent sur place quelque jour , le temps d' une opération de défense avant de revenir , de nuit pour être repeint au couleur française ...

    Autre point important , il va y avoir bientôt un exercice de l' otan comptant +220 avions , juste à côté de l' ukraine ... si une attaque surprise de f16 "ukrainiens"
    a lieu exactement au même moment , vous pensez bien qui sera au commande de f16 en parfait état de marche , armés jusqu' au dents .

    ---> rappelez vous que après le dernier exercice de l' otan , on a eu "-nordstream-"

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