Pour bien vendre un produit, dont la qualité est mauvaise, l'emballage est essentiel. En politique, c'est la même chose : pour faire passer une décision douteuse, il faut trouver un "bon" prétexte. Dans la logique du pompier pyromane, après avoir provoqué un conflit armé en Ukraine, y avoir entraîné les pays européens, avoir lancé les idiots utiles baltes et polonais en fer de lance, les forces anglo-saxonnes de l'Alliance viennent "protéger" les populations européennes, du danger qu'elles causent.
Ainsi, sous commandement du Canada, un groupe militaire a été mis en place en Lettonie par l'OTAN pour, je cite, "contenir l'invasion russe". Un millier d'hommes, mais d'ici 2026 l'OTAN espère doubler ce chiffre. Deux remarques : tout d'abord, la menace ne semble pas très sérieuse, car avec un millier d'hommes, ils ne tiendraient pas longtemps en cas de réelle manoeuvre de la Russie vers les pays Baltes ; ensuite, les prévisions allant jusqu'en 2026, l'Alliance prévoit de mener une guerre à long terme contre la Russie et de redéployer une stratégie d'endiguement, qui contient une dimension militaire.
Afin de montrer patte blanche, la Suède qui n'est pas encore entrée dans l'OTAN mais veut montrer à quel point elle est déjà soumise, annonce envoyer un bataillon pour étoffer cette force de l'OTAN et protéger la pauvre petite Lettonie d'une "invasion russe".
Nous rappellerons, que le Canada fut très actif dans la formation des groupes combattants en Ukraine et ce dès le Maïdan, avec le programme UNIFIER. La diaspora néonazie ukrainienne, qui s'est réfugiée après la Seconde Guerre mondiale, est toujours très active pour soutenir ces mouvements en Ukraine, depuis la chute de l'Union soviétique. Il est normal de les retrouver en Lettonie, ce pays parfaitement européen au goût des années 30 du siècle dernier, ce pays où il est légal d'organiser des marches en souvenir des combattants nazis, d'en porter l'uniforme dans la rue.
L'Europe au son des bottes et à la couleur kaki est la seule alternative qui nous soit proposée face à la dégénérescence woke. Finalement, elle en est la continuation logique.
Merci de ces informations.
RépondreSupprimerVous voyez clair depuis des années !
Les USA veulent occuper militairement l'Europe et la ruiner, et anéantir la Russie et s'emparer de ses richesses.
Il est temps que la Russie réalise que la menace est grave, car le temps joue contre elle. Elle peut encore écraser les Ukronazis et bloquer l'OTAN sur ce front sud. Dans quelques temps cela pourrait être impossible et le Pentagone pourrait ouvrir d'autres fronts.
Préparer la défense nécessite de ne plus éloigner les Stelkov et autres généraux.
Parce que la guerre de 39/45 ne s'est JAMAIS TERMINEE sauf que ces néo- nazes ont oeuvré dans l'ombre en fomentant des conflits à droite à gauche pour " en même temps" voler les ressources des pays en question, pour pouvoir investir et progresser ...aucune leçon n'a été tirée de cette époque ...nous y sommes à nouveau ! 😡!
RépondreSupprimerEt si les nazis dont on nous rabâche étaient en réalité les sionistes ? Car les Nuland, Zelinski, Biinken etc. etc. sont tous membres du Lobby. Et bien avant eux, les Rothschild, Trotsky, etc.
SupprimerCeux qui s'intéressent à l'histoire ont parfaitement compris que, depuis très longtemps avant 1945, les USA mettent et à feu et à sang des dizaines de pays sur la planète. Mais on ne parlait jamais de nazisme. C'est nouveau, parce que les Bandéristes ont massacré des populations juives et slaves en 40/45 dans la Pologne et la région ukrainienne durant l'occupation par l'Allemagne nazie, et ont recommencé après le Maïdan de Kiev avec leurs milices Azov, Privat Sektor etc. Et que pour des raisons évidentes de proximité avec la Guerre Patriotique, pour parler facilement aux Russes, et aux Occidentaux, le président Poutine a redonné force et vigueur à cette idéologie. Mais le monstre américain, animé par les banquiers juifs new-yorkais n'ont jamais été nazis. Ou alors Rothschild, Biden et sa Nuland, la CIA, Zelinski et Netanyahou sont des nazis !
SupprimerCherchons d'autres termes, comme globalistes-exterminationnistes par exemple. Évidemment "nazi" c'est plus court et pas besoin de réfléchir. Comme "stalinien", à l'Ouest...
J'ai bon ?
L'"invasion russe", une crainte vraiment grotesque et parfaitement invraisemblable, la Russie ou l'URSS n'ayant jamais annexé un seul des Etats Baltes.
RépondreSupprimerPeut-être que en 1991 les oligarques russes réussirent à faire croire qu'ils lachaient le pouvoir. Peut-être qu'ils font aujourd'hui tout pour que l'Opération militaire spéciale tournent en eau de boudin. Mais si le peuple russe se réveille, celui de Newski, Doistoievski, Staline, "ça va faire mal".
RépondreSupprimerVu du Québec, je peux vous assurer que tout ça est du mauvais théâtre d'été. L'état de décrépitude de l'armée du Dominion canadien est une farce qui ne veut pas mourir. À part les bandéristes qui auraient pu s'être glissés parmi ces 1000 hommes, les autres ne tiendraient pas cinq minutes devant les forces russes. On parle de gamins élevés dans la soie par des parent qui refusaient de leur dire non. Ils sont de bons guerriers dans un jeu vidéo, mais devant des gars qui ont mangés leur pain noir pendant les années 1990, il ne feront pas long feu. Les Russes se défendent contre une menace existentielle. Les Canadiens eux, ne savent même pas ce qu'ils font là. Tout ce qu'ils savent c'est qu'en Russie, l'omnipotent Poutine interdit aux dégénérés trans-machin de se pavaner avec des plumes aux fesses sur des chars allégorique et ça, on leurs a dit que c'est une menace à l'ordre mondial. C'est d'ailleurs la même chose pour l'armée US ou anglaise.
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