La Russie hier a envoyé un double signal aux Globalistes. D'un côté, Poutine a annoncé un nouveau cessez-le-feu, de trois jours cette fois, autour des célébrations du 9 mai pour rappeler aux Ukrainiens qu'ils partagent une seule et même Victoire avec les Russes, quand, par la voix de Lavrov, la Russie avance ses conditions pour un règlement de la guerre en Ukraine. Si ce qu'elle demande induit effectivement la défaite des élites globalistes, pourquoi celles-ci devraient-elles accepter de capituler, alors qu'elles n'ont pas encore épuisé toutes les ressources militaires ? En tout cas, le but de la Russie est bon et elle revient ainsi dans le combat politique.
Hier, Vladimir Poutine a annoncé la tenue d'un cessez-le-feu de trois jours pour les 80 ans de la Victoire de 45 et enjoint l'Ukraine a le respecter. Selon le président de la Douma, la Chambre basse du Parlement, cela est fait pour rappeler aux Ukrainiens, qu'ils constituent un seul peuple avec les Russes et qu'ils partagent une seule et même Victoire. Un communiqué a ainsi été diffusé :
Par décision du Commandant en chef suprême des forces armées de la Fédération de Russie, fondée sur des considérations humanitaires, à l'occasion du 80e anniversaire de la Victoire - du 7 au 8 mai à minuit jusqu'au 10 au 11 mai à minuit - la partie russe déclare un cessez-le-feu. Durant cette période, toutes les opérations militaires cessent.
La Russie estime que la partie ukrainienne devrait suivre cet exemple. En cas de violation du cessez-le-feu par la partie ukrainienne, les forces armées russes donneront une réponse adéquate et efficace.
La partie russe déclare une fois de plus qu'elle est prête à mener des négociations de paix sans conditions préalables, visant à éliminer les causes profondes de la crise ukrainienne, et à interagir de manière constructive avec ses partenaires internationaux.
Il est vrai que le précédent cessez-le-feu de 30 heures pour les fêtes de Pâques a été violé "seulement" près de 5 000 fois par l'armée atlantico-ukrainienne, ce qui est manifestement une grande réussite et mérite d'être répété. Cette fois-ci pour 3 jours.
Politiquement, l'effet est très relatif. De toute manière, la Russie sera accusée de la violer. Et les Ukrainiens, qui se sentent appartenir au Monde russe, attendent une victoire aujourd'hui et pas uniquement le rappel de celle de 45.
Le NYT écrit immédiatement qu'il s'agit d'une réponse de Poutine aux menaces de Trump, pour le satisfaire et le calmer, lui le grand "arbitre" pacifiste :
Pour la deuxième fois en une semaine, la Russie s'est engagée à cesser temporairement ses attaques contre l'Ukraine. Cette fois, a indiqué le Kremlin, le président Vladimir Poutine a décrété un cessez-le-feu de trois jours, à compter du 8 mai, dans une tentative apparente d'apaiser le président Trump. Hier, le secrétaire d'État Marco Rubio a déclaré que les États-Unis décideraient cette semaine s'ils poursuivaient ou non la recherche d'un règlement.
Cette décision est donc en toute logique interprétée comme un signe de faiblesse politique. Il est vrai que l'insistance de la Russie à vouloir démontrer aux Atlantistes, dont Trump, à quel point elle est gentille et veut "la paix" (personne n'ose parler de Victoire en ce qui concerne le conflit actuel, pour ne déranger le "partenaire pacifiste" qu'est devenu Trump) est plus que surprenante, elle est malsaine. Parce que les autorités russes n'arrivent toujours pas à dénommer l'ennemi, les élites globalistes et à y placer Trump, en qui elles avaient placé tant d'espoir. Et volens nolens elle protège ainsi ces élites en s'accrochant désespérément au mythe de la division des globalistes et au scénario hollywoodien des gentils Américains et des méchants Européens - travaillant pourtant main dans la main sur le front ukrainien contre la Russie.
Parallèlement, Lavrov a commencé à avancer les "conditions", auxquelles la Russie acceptera un règlement du conflit en Ukraine. Rappelons que la Russie a déjà déclaré qu'elle refuse tout gel du conflit sur la ligne du front et qu'elle n'acceptera pas la présence de contingents militaires des pays de l'OTAN sur le sol ukrainien. Le ministre russe des Affaires étrangères a encore précisé :
- L'Ukraine ne peut adhérer à l'OTAN et son statut de pays neutre doit être confirmé, conformément à la Déclaration de sa souveraineté de 1990.
- Il faut dépasser les conséquences de la ligne russophobe tenue depuis 2014 et remettre en cause la législation restreignant l'utilisation de la langue russe, la culture russe et portant atteinte à l'Eglise orthodoxe canonique.
- Il est impératif d'établir une reconnaissance juridique internationale de l'appartenance de la Crimée et Sébastopol, des républiques de Donetsk et Lougansk, des régions de Kherson et Zaporojie à la Russie. Cette reconnaissance ne doit pas être limitée dans le temps.
- La démilitarisation et la dénazification de l'Ukraine doivent être conduites à leur terme.
- Les sanctions et les mandats d'arrêt doivent être annulés.
- Les actifs russes doivent être restitués.
- La Russie cherchera également à obtenir des "garanties de sécurité fiables" face à l'activité menaçante de l'OTAN et de ses membres à ses frontières occidentales.
- La Russie condamne la continuation de fourniture d'armes au front en Ukraine, la réunion d'une "coalition de volontaires" et la volonté de renforcer la capacité du complexe militaro-industriel ukrainien.
Non, nous n'avons pas reçu une telle proposition, et si nous la recevons, nous expliquerons, que la gestion de la centrale nucléaire de Zaporojie est sous la juridiction de la société d'État russe Rosatom sous la supervision du personnel de l'AIEA, qui est constamment présent sur le site et effectue la surveillance.
- a déclaré Lavrov, ajoutant que la seule menace pour la centrale nucléaire de Zaporojie vient de l'Ukraine, qui attaque constamment la centrale, créant ainsi la menace d'une catastrophe nucléaire.
Les conditions avancées par la Russie sont inacceptables pour les élites globalistes, en l'état des choses, au minimum pour ces raisons :
- Elles ne peuvent se permettre de ne pas contrôler militairement ce qui restera du territoire ukrainien, car elles ont besoin de créer une menace permanente aux frontières et ne peuvent laisser ce territoire et ces populations sans pression, sinon elles reviendraient naturellement "au berceau", en Russie.
- Et c'est bien pour quoi elles ne peuvent remettre en cause la législation interdisant la civilisation russe, sans prendre le risque de voir les Ukrainiens revenir dans le Monde russe, qui est le leur.
- Elles ne peuvent reconnaître juridiquement les nouvelles frontières, car le Monde global reculerait et elles reconnaîtraient alors leur défaite.
- Elles ne peuvent annuler les mandats d'arrêt, sans reconnaître ouvertement qu'il n'y avait pas de fondement juridique à l'accusation de crime des dirigeants russes et que la CPI n'était de toute manière pas compétente, ce qui conduit à reconnaître la politisation de leur politique de droits de l'homme, ainsi que des institutions qui la garantissent. Donc à remettre en cause le fondement idéologique de leur mode de gouvernance.
- Elles ne peuvent restituer les actifs russes, car elles ont besoin de se rembourser de la guerre qu'elles mènent contre la Russie, au risque de se retrouver en faillite.
Mais peut-on obtenir ce résultat avec des négociations ? C'est cela, qui est beaucoup plus discutable : comment demander à des élites de se suicider elles-mêmes, alors qu'elles n'ont pas (encore) perdu sur le champ de bataille, comment attendre d'elles qu'elles disparaissent et vous offrent la victoire ? En tout cas, la Russie exerce elle-aussi une pression en retour sur les Atlantistes.
Les négociations.occupent les négociateurs, ou Ubu roi qui regarde les militaires tués par des drônes.
RépondreSupprimerCette position des autorités Russes semblent louables, mais je crains que les réalités de leurs actes soient contraires à leurs déclarations.
RépondreSupprimerJe n'ai pas toujours compris comment on peut négocier avec un adversaire qui déclare clairement vouloir votre disparition, et qui a déjà essayé de provoquer cette disparition plusieurs fois à travers le temps.
Je pense que les élites politiques Russes gagneraient mieux à mettre leur pragmatisme politique et idéologique de côté, pour essayer la Real Politic que ses adversaires pratiquent allègrement depuis des siècles, ne serait ce que pour une fois au moins.
La parole de la Russie est bien dévaluée, depuis que leurs lignes rouge sont parties en fumée les unes après les autres
RépondreSupprimerIls ne croient pas eux-mêmes dans les conditions qu'ils feignent de fixer aux occidentaux
Et leur adversaire perçoit très bien cette faiblesse
Maintenant, nous en sommes au point où les petites cités-état Baltes se permettent d'arraisonner des bateaux russes en toute impunité
Il est bien loin le temps de l'URSS
Staline aussi fut floué par le pacte de non agression proposé par Hitler puisque les nazis passèrent à l'attaque par surprise en juin 1941. Mais les choses étaient claires : il s'agissait pour l'URSS de gagner du temps pour s'armer.
SupprimerPour négocier en position de force, encore faut il avoir vaincu militairement son adversaire
RépondreSupprimerEt on en est très loin
Cette négociation initiée par l'Amérique na d'autre but que d'arracher la capitulation russe
C'est d'une évidence enfantine
Pourtant les Russes semblent contents de négocier
Ces gens-là sont-ils sérieux ? Ont ils véritablement des services de renseignement fonctionnels?
On peut en douter
Il semble plutôt que les négociations réelles n'aient pas commencé. Et les positions respectives sont si éloignées qu'on dirait un pat aux échecs, chacun espère une faille, un changement en face. Seul point positif, si on excepte les fanatiques européens, chaque camp semble décidé à maintenir le conflit entre certaines limites (Les USA ont interdità l'All. la livraison et l'usage des Taurus).
SupprimerOn attend avec impatience le prochain billet d'humeur, au titre incendiaire au napalm
RépondreSupprimerQuoi qu’il en soit, Lavrov est le diplomate le plus expérimenté de la scène internationale et cela permet à la Russie, à mon sens, de continuer à révéler au grand jour les stratégies foireuses des élites mondialistes, mais, cela dit, avoir raison ne veut pas toujours dire gagner dans le monde global voulu par ces élites, …et c’est ce qui doit changer; la Russie peut (doit) le faire car elle en est parfaitement capable,
RépondreSupprimerFabrice-F04
Le discours de Lavrov est aussi à destination de ses alliés. C'est l'image de la Russie dans le hors-occidental qui est aussi travaillée. Ce monde occidental qui représentait encore un espoir pour un certain nombre de personne, il est possible que hors-occident, la prise de conscience de ce qu'il fait grandisse.
SupprimerJe n'oublie pas que, malgré toutes les embrouilles provoquées en Amérique Latine pendant des années, l'image de l'acteur de ces embrouilles n'a pas vraiment été bien entamée, car il a réussi à créer un repoussoir plus fort. Grâce à la propagande, les gens ont cru qu'il faisait le choix suivant : "de deux maux je choisis le moindre". Et cette prise de conscience, il faut l'accompagner car c'est un changement de paradigme. Il semble que pour le monde occidental, c'est le mensonge-manipulation et encore le mensonge-manipulation qui est la règle de fonctionnement. Une extrême vigilance de la part de la Russie et des autres attaqués potentiels est tout à fait nécessaire. Les Etats-Unis sont très forts car le génocide perpétré sur les indiens autochtones, qui sont fêtés par le thanksgiving, les pauvres, a été parfaitement retourné grâce à hollywood. Ils ont réussi à vaincre les méchants indiens !!!
-Tout cela fonctionne grâce au comportement d'autruche, majoritaire dans le peuple. Alors comment retrouver un minimum d'honnêteté ne serait-ce que sur les faits, en espérant que les gens en arrivent à imaginer les conséquences, mais ce n'est pas gagné !!!
- Et encore un ou deux génocides actuellement (en pensant aussi à la RDCongo agressée par le Rwanda), on n'est plus à deux ou trois près.
-Dans l'interview que Georges Kousmanovich a fait de M.Peskov, qui parle un français remarquable, K dit que les USA sont désormais un "tigre de papier" et l'autre rectifie en disant, "un tigre affaibli mais encore bien dangereux" (de mémoire, je ne garantis pas le propos exact mais l'idée).
-Bref, j'ai l'impression qu'on n'a pas encore atteint la "masse suffisante" pour que NOS politiques se calment un peu et arrêtent leur fuite en avant. Cette fuite en avant est éventuellement favorisée pour "créer plus d'Europe, faire disparaître les Etats-Nations". La position de la Russie n'est pas très simple même si matériellement sa position est forte. C'est avec une vision sur du très long terme qu'il faut travailler. Un discours qui peut sembler mièvre peut en fait être sous-tendu en amont par des convictions fermes, un peu le contraire de notre président qui est fort pour les effets d'annonces dangereux et qui n'a pas les moyens, matériels mais surtout intellectuels pour se projeter intelligemment dans l'avenir. Etc, etc...On aimerait une solution rapide pour diminuer la tension, mais il faut tenir sur du long terme.
On dirait que l'Operation spéciale en Ukraine est née sous une mauvaise conjonction ou d'une certaine précipitation. Chaque fois que j'en prends des nouvelles j'en sors avec le sentiment que paradoxalement cette affaire ne tourne pas vers une issue assumée et la théorie de l'attrition une excuse. Il y a là une énigme.
RépondreSupprimerWashington refusera toujours d'accéder aux exigences de Moscou. Que pourra alors faire la Russie ? Combattre et vaincre, ou mourir à petit feu en espérant que les Usa s'effondrent.
RépondreSupprimerKarine, vous avez raison sur toute la ligne. Trump s'agite, il exige de ia Russie qu'elle fasse la paix, sa paix, mais il ne dit rien sur le traité qu'il est censé avoir proposé !
RépondreSupprimerAucune reconnaissance par l'Occident des territoires qui ont été libérés par la Russie, pas de démilitarisation ni de dénazification de l'Ukraine, pas de recul des forces de l'OTAN. Bref comme on dit Trump c'est de l'esbrouffe et l'on aimerait bien savoir ce que Witkoff a proposé à Poutine.
En matière de démilitarisation les Américains sont pourtant des experts. Ils ne laissent jamais rien aux vaincus, ni avions ni bateaux ni camions et aucune munition. VVP va devoir présenter la liste détaillée à Trump :)))
"Autrement dit, aujourd'hui, ces élites occidentales ne peuvent accepter les conditions avancées par la Russie, sans reconnaître leur défaite"
RépondreSupprimerElles pourraient, après quelques mois de propagande inversée (corruption, existence d'une opposition ukrainienne, "réveil" du bandérisme, tiens! finalement ce ne sont pas nos valeurs, l'Ukraine ça coûte cher, la France n'est pas concernée, etc.), mais gros risque politique. Ils y seront obligés si les USA lâchent (réellement) l'affaire, sauf à être suicidaires. Mais nous n'avons qu'un vague reflet de ce qu'il se passe réellement.
Ci-dessous des « nouvelles » de cette grande et extraordinaire structure supranationale ultra démocratique qu’est l’UE, …et sinon pour Gaza et la Cisjordanie on dit quoi au sujet des tueries et bombardements Madame Anita Gipper l’inconnue ?
RépondreSupprimerBref …
Mieux vaut lire cela plutôt que d’être aveugle, …quoi que ?
Décidément, il est DÉFINITIVEMENT temps de cesser de discuter avec ces mondialistes débridés on ne peut plus « malhonnêtes » (pour rester élégant) et de finir le boulot, i.e. atteindre TOUS les objectifs de l’opération militaire spéciale.
Go Russia !!!
Fabrice-F04
—-
« La Russie pourrait mettre fin aux tueries et aux bombardements dès maintenant », rappelle l’UE
Alors que le président russe, Vladimir Poutine, a annoncé un cessez-le-feu de trois jours dans sa guerre contre l’Ukraine, entre le 8 et le 10 mai, à l’occasion des célébrations de la victoire soviétique sur l’Allemagne nazie, la Commission européenne a fait valoir qu’il n’était « pas nécessaire » d’attendre cette date-là pour cesser les hostilités. « La Russie pourrait mettre fin aux tueries et aux bombardements quand elle veut, il n’est pas nécessaire d’attendre le 8 mai. Elle peut le faire maintenant, dès aujourd’hui », a déclaré la porte-parole de la Commission, Anita Gipper, lors d’une conférence de presse.
« Nous continuerons de soutenir l’Ukraine pour parvenir à une paix durable, juste et complète », a ajouté Mme Gipper, faisant valoir que « c’est à l’Ukraine de décider à quel type de négociations elle veut participer, et dans quelles conditions ».
La Russie dit lancer unilatéralement les négociations directes avec Kiev, sans conditions préalables, en cessant les combats durant les 8-10 mai.
RépondreSupprimerMoscou déclare également accepter de négocier avec Zelensky, même si elle sait que ses engagements ne valent rien, que la guerre reprendra ultérieurement et que l'ennemi profitera de toute suspension de la guerre pour se réarmer. C'était jusqu'alors hors de question.
Cet empressement de cesser les combats est inquiétant pour l'avenir de la Russie, mais on s'y attend depuis plusieurs années.
Medvedev a déclaré : la réponse russe au principe occidental de « la paix par la force » ne peut être que « la paix par la peur », car « la peur fonctionne toujours ».
RépondreSupprimer👉 C'est tout à fait exact, cela s'appelle « la dissuasion », et c'est parfaitement ce que la Russie n'est pas parvenue à obtenir, en raison de son comportement. Cela continue, et cela continuera, car, tout le monde l'a compris depuis longtemps, les dirigeants russes et leurs sponsors n'osent pas aller au bout, quelles que soient les raisons.
Le 30 avril 1945 un soldat de l'armée soviétique dressait le drapeau de l'URSS sur le Reichstag. Encore quelques combats et c'était la fin de 4 années de guerre : la Russie et la plus grande partie des pays occupés par le Reich nazi étaient libérés. Le prix payé par les Russes était lourd : au moins 29 millions de morts !
RépondreSupprimer80 ans après, après 3 années d'opérations militaires contre l'Ukraine nazifiée, l'armée de la Fédération de Russie a libéré 15% seulement du territoire occupé par le régime de Kiev, y compris les deux régions qui avaient gagné leur indépendance en 2014.
QUE S'EST IL PASSÉ ?
A 14h25 mn exactement... je ne l'ai pas fait exprès :)))
RépondreSupprimerhttps://t.me/BeornAndTheShieldmaiden/12957
Que l'on croit ou non que la secte juive américaine Habad (connue sous le nom Chabad Loubavitch) ait envahi la Russie au point de la diriger, le programme que son dirigeant, exposa en 1994 glace le sang.
RépondreSupprimerPour le rabin Schnerson il s'agit en effet d'exterminer tous les peuples slaves, en commençant par ceux qui vivent en Ukraine. Cela donne à réfléchir , puisque des deux côtés du front les populations qui se combattent sont slaves. Cette destruction mutuelle fait partie du plan global de destruction des Slaves annoncé en 1994 par Schnerson, en commençant par l’Ukraine avant de s'attaquer à la Russie :
« Nous rendrons ce territoire et créerons sur ces terres fertiles la Grande Khazarie – un État juif, tout comme nous avons créé Israël »
👉https://wp.me/p7dOV-x9
Comme par hasard, et ce ne sont pas des détails, l'américaine Victoria Nuland qui réalisa avec la CIA le coup d'état du Maidan en 2014, est juive et d'origine ukrainienne, une Khazare, et Donald TRUMP est un partisans de la secte Chabad Loubavitch, au point d'avoir instauré aux Usa, en 2025, une journée de célébration officielle des Chabad Loubavitch : de quoi faire réfléchir lorsqu'on sait que son plan de paix actuel pour l'Ukraine est un mensonge qui est destiné à endormir les Russes.
1994 soit 20 ans avant le putsch du Maidan à Kiev et le début du massacre des russophones par des "néo nazis"... C'est époustouflant de voir que ce programme criminel s'est finalement réalisé. Cette rage ànti slave d'un rabin fait penser à celle de Hitler, lui aussi avait promis dans mein Kampf d'exterminer les Slaves !
SupprimerFranchement, les services secrets russes n'ont pas été à la hauteur en ne lisant pas cette littérature de ce Schnerson . Ou bien s'ils l'ont lue, ce sont les dirigeants russes qui ne l'auront pas exploitée.
Cela rappelle le complot contre les monarchies européennes qui fut découvert par la police bavaroise, Louis XV ne voulut pas y croire et Louis XVI paya ensuite le prix de cette faute. Partout en Europe les rois et les empereurs écoutèrent le roi de Bavière et aucun ne fut renversé.
Tout n'est donc pas seulement géostratégie et finances, le racisme existe, et le diable l'utilise.