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lundi 2 novembre 2020

Covid : Castex démasque le totalitarisme sous prétexte sanitaire


Hier soir, le Gouvernement français a officiellement déclaré le totalitarisme sous prétexte sanitaire : il ne peut plus y avoir d'espace privé ; tout espace, même et surtout le domicile à l'heure du reconfinement, est occupé par le masque. Tout comme il ne peut plus y a voir de classes d'âge épargnées : dès 6 ans, les enfants doivent avoir le visage barricadé, leur individualité ne doit pouvoir se construire, ils doivent être écrasés et formatés - "pour leur bien". Le fanatisme qui s'épanouit aujourd'hui, notamment en France, montre bien à quel point le virus n'est qu'un prétexte. Un prétexte pour changer de société, pour changer d'homme, pour déshumaniser. Il ne reste que la résistance, à chaque instant, chaque jour. Notre vie est à ce prix. 

Chers amis, oui, il y a des virus - quelle surprise ! Non pas un virus, mais bien des virus. Il y en a toujours eu et il y en aura toujours. Mais ce qui se passe autour de ce pauvre Covid, maintenu à l'ordre du jour par une propagande globale et des complicités intérieures, est parfaitement inédit. Et n'a rien à voir avec le sanitaire - "l'optimisation" de la médecine continue, les statistiques de l'hépatite n'intéressent pas les médias (alors qu'elles rendraient jaloux notre petit Covid). Et si l'on pense à la Suède, qui sans masque ni confinement, n'a quasiment plus de décès liés au coronavirus, l'on est en droit de s'interroger sérieusement sur l'utilité sanitaire des mesures radicales imposées en France.


Car c'est officiel, depuis hier soir, le Gouvernement l'a annoncé au 20h de TF1 : le totalitarisme - sanitaire - est décrété. Totalitarisme, car aucun espace privé ne peut échapper au dogme. Et le Premier ministre l'a affirmé, soutenu sur BFM par l'ancien directeur de la Santé (qui est quand même une prison, pour le rappeler) : le masque devrait être porté à la maison. Et par les enfants.



Même la journaliste, un peu surprise, de demander : et on fait comment pour les repas ? La réponse est simple, cinglante, fanatique à souhait :
 "On n'est pas obligés de tous manger en même temps. C'est un bouleversement..., a-t-il concédé. Mais si on ne contrôle pas ça, on ne va pas arriver à concilier notre obligation éducative et malgré tout, ralentir cette épidémie, pour éviter des malades et des morts et limiter la casse économique et sociale.  Il faut dire aux jeunes qu'ils doivent garder le masque à la maison."

Bref, le modèle d'isolement carcéral a de l'avenir dans ce nouveau monde. Et pour cela, il est fondamental de prendre en main dès le plus jeune âge la population, pour qu'elle s'habitue aux nouvelles règles du jeu, qu'elle considère un comportement pathologique comme une norme. Et ce sera possible grâce à l'imposition du port du masque dès 6 ans - avec la déconstruction de la personnalité qui s'en suit. Donc, la création d'une génération faible psychiquement, intellectuellement réduite au minimum et socialement impossible à intégrer.

Pour Patrick-Ange Raoult, psychologue clinicien et membre du bureau du Syndicat national des psychologues (SNP), "la plupart des enfants vont s'y adapter". (...) Mais quel sera l'impact de cette mesure, qui entrera en vigueur dès la rentrée prochaine fixée au 2 novembre ? Pour Patrick-Ange Raoult, psychologue clinicien et membre du bureau du Syndicat national des psychologues (SNP), "la plupart des enfants vont s'y adapter". Une chose qui devrait rassurer bon nombre de parents.

Le spécialiste ajoute toutefois : "Tout l'apprentissage de décodage des émotions ou des affects, ce qui se lit sur les mimiques, va être complètement décalé. Le visage a une importance qui va au-delà d'une simple partie du corps. C'est quand même le lien à l'autre. Cela risque d'affecter la qualité de relation que les enfants vont pouvoir construire avec autrui".

"Je pense que ça impactera le type de personnalité qu'on est en train de construire, mais aussi les modes de relation avec les autres et une partie de leurs apprentissages. Les structures de pensée elles-mêmes seront forcément modifiées. Dans quelles mesures ? Pour l'instant, on ne le sait pas, c'est difficile à évaluer, mais ça va changer nos jeunes gens", conclut le psychologue clinicien.

En Russie, avec une certaine hésitation, discrètement encore, le masque est recommandé dans les ascenseurs. Ce ne sera pas plus contrôlable qu'au domicile en France, que les repas séparés, chacun dans son coin. Plus de communication humaine, plus de famille, il sera possible de discuter d'une pièce à l'autre sur les réseaux sociaux, entre deux séances virtuelles de psychothérapie de groupe pour gérer l'isolement et d'un yoga sur smartphone, seul, chez soi. Car, à moins de mettre en place une milice sanitaire (tout est encore possible), qui aura le droit d'entrer dans nos domiciles, cela ressort de la propagande, d'un rapport de faiblesse : ils ne sont pas (encore) assez fort pour l'imposer dans la réalité, tout dépend de votre faiblesse. Ils ont déjà gagné l'espace de l'école, il ne reste plus que votre maison. Votre forteresse. La question étant bien de savoir qui est le plus faible. 

Et le chantage se porte à merveille : si vous ne suivez pas nos diktats, ça va durer longtemps ...

Cela fait des mois que ça dure. Au printemps, déjà, l'on expliquait aux populations qu'il fallait juste faire un petit effort. Les gens ont fait un grand effort. Et rien ne change. Car il y aura toujours un virus qui traîne, parce que les gens tomberont toujours malades, parce que chaque jour il meurt 1700 personnes en France en moyenne, parce qu'il y aura toujours des pics de virus saisonniers. Ce pouvoir global est encore trop faible pour dire ouvertement que c'est une nouvelle réalité, que cela n'a rien de temporaire, car c'est la seule réalité, inhumaine, qui permette leur pouvoir. Qui permette ce qui ressemble de plus en plus à coups d'Etat mondial.

Plus vous accepterez ces mesures ubuesques, plus longtemps ça durera. Car vous vous affaiblirez autant que vous renforcerez ce mouvement.






11 commentaires:

  1. Il faut toujours voir le bon côté des choses: Ils auraient pu se rendre compte que la diarrhée fait des morts et nous forcer à porter des couches.

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    1. Les Russes rigolent à ce sujet de façon suivante: "Les mecs sérieux ont construits de nombreuses usines à masques et l'on doit maintenant porter des masques. Heureusement que les mecs sérieux n'ont pas encore construits plusieurs usines de poires de lavement..." - "Серьёзные дяди построили много заводов по производству масок - и теперь нам надо насить маски. Спасибо, что серьёзные дяди ещё не построили много заводов по производству клизм".

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  2. Nous sommes sous Staline, Ceausescu, Pol Pot.
    Nous entrons dans une ère de terreur.

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  3. Si l'on suit le raisonnement de M. Castex, nous aurions tous dû périr pendant la première vague de l'épidémie (pas de masques, de tests, repas pris ensembles en famille, etc...). Quel clown !

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    1. non ce type n'est pas un clown c'est un agent du nouvel ordre mondial !

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  4. Si les gens ne se parlent pas (et c'est justement ce que l'état déconseille) nous sommes perdus.

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  5. Les milices sanitaires existent déjà: les brigades sanitaires, composés de bénévoles, comme ça il n'y a que des gens zélés, et puis il ne faut pas oublier la police/gendarmerie, ici dans le sud, ils contrôlent même les tracteurs (au cas où l'agriculteur irait en boite avec ?).

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  6. je suis d'accord avec tous mais concrètement fait quoi on peut plus continuer comme ca dans la rue 30 on est pas nombreux a crier libertés on fait quoi urgence il y a

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  7. Prenons 2 derniers alinéas du billet de Karine : pour moi, ils se contredisent. Alors, si l'on suit leur dictat, cela durera moins longtemps et l'on reviendra à la vie "normale" (+/-)? Ou bien le nouvel ordre mondial est encore trop faible pour nous assujettir ouvertement et nous contrôler jusque dans les chiottes? - Pour moi, l'essence de ce que Karine nomme "la faiblesse" n'est rien d'autre que la trouille des moutons apeurés qu'ils propagent pire que tous les virus réunis. Arrêtez d'avoir PEUR Nom de Dieu! - Je viens de discuter avec un flic dans la rue (je refuse de porter le masque, sauf face au gens à qui cela fout la trouille). Le mec me déclare texto : "Nous ne réfléchissons pas - nous faisons ce qu'ils nous disent de faire" (sic!).Et c'est de ça que vous avez PEUR ? - Ben alors y a mille et une astuce pour ne pas payer les PV. Ou bien vous avez PEUR de mourir? - Ben alors, quand enfin les populations comprendront que l'humain est MORTEL et, comme disait Boulgakov, "le plus marrant, c'est qu'il est mortel SUBITEMENT".

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