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mercredi 22 février 2023

Billet du matin : ne serait-il pas temps de se secouer un peu ?


Toutes les guerres sont sales, certainement. Lorsque les enjeux sont existentiels, il semble que les forces politiques soient prêtes à n'importe quoi pour emporter une victoire, qui fera oublier les moyens. Et l'armée atlantico-ukrainienne, joue l'existence du monde global, elle ne peut pas se permettre une défaite. Alors à la guerre comme à la guerre, le recours aux armes chimiques et tirer en profondeur sur des cibles civiles sont une stratégique, qui ne dérange absolument pas les dirigeants atlantistes, d'autant plus que les médias dociles n'en disent pas un mot et laissent les populations dormir en paix. La Russie doit passer à un rythme supérieur, si elle ne veut pas se faire enliser, dans un conflit de longue durée, qui utilise la normalité comme un chloroforme quotidien.

Les nouvelles armes fournies par les pays de l'OTAN commencent à produire leur effet : elles permettent de tirer plus en profondeur sur le territoire russe, ce qui se voit déjà dans la région de Donetsk :

"L'armée ukrainienne aurait utilisé de nouveaux types de munitions pour le MLRS. Des bombardements massifs ont été observés dans un certain nombre de villes de l'arrière du Donbass. La défense aérienne travaillait activement au-dessus de Donetsk. Au total, plus de 30 explosions ont retenti sur le territoire de la RPD.

De plus, Marioupol était attaqué. Selon une source de Readovka, il y a eu plus de 15 explosions dans la ville. Très probablement, les forces armées ukrainiennes ont utilisé de nouveaux types d'armes à longue portée, dont la fourniture avait été précédemment annoncée par les États-Unis, puisque Marioupol est situé profondément à l'arrière."

Les villes paisibles sont à nouveau des cibles, les civils sont à nouveau visés par l'Axe atlantiste, car ils ont voulu vivre en Russie.

La défense aérienne fonctionne, mais la fameuse avancée du front, qui est censée aller de pair avec la fourniture d'armes de plus en plus puissantes par l'Occident, elle, se fait dangereusement attendre. Or, quelle que soit les formules ampoulées utilisées, c'est bien le territoire russe, qui est ici touché. Et aucune réaction particulière de la Russie - militaire, n'est, à ce jour, visible. Au regard des résultats. Sans oublier, que le décalage de plus en plus visible entre les mots et les faits, est une bombe à retardement, difficilement maîtrisable. 

La stagnation est évidente, sauf certainement pour ceux qui ne veulent le voir. A ce sujet, un début d'explication avec le commentaire ce matin d'Alexandre Khodakovsky, commandant du célèbre bataillon Vostok, concernant la réduction de l'approvisionnement en armes de Wagner et des armées privées :

"Le problème n'est pas que les unités militairaires privées ont cessé de recevoir des munitions, mais qu'elles ont commencé à en recevoir, comme tout le monde. Franchement, nous enviions les "Wagners" dans le bon sens lorsqu'ils avaient leur propre aviation de première ligne, une indemnité journalière de deux Iskander et un Caliber, lorsqu'ils signaient des demandes de deux mille cinq cents canons pour l'entraînement (!) pratique, quand ils ont été traînés vers eux avec tout le pays des condamnés ... Nous les envions, mais nous comprenions que tout le monde ne recevrait pas un tel approvisionnement - et il donnerait le même résultat qu'eux. Même si le résultat n'est pas seulement lié à la quantité ...

Maintenant, ils sont fournis comme tout le monde, et le plus déprimant n'est pas que leurs normes aient été spécifiquement abaissées aux normes générales, mais que ces normes générales ne leur permettent pas de donner le résultat souhaité. Sous Ugledar, avant l'offensive, l'armée réduisait au minimum la consommation quotidienne, afin d'accumuler un approvisionnement pour au moins le premier jour de l'offensive. Cela ne suffisait évidemment pas à réprimer la résistance de l'ennemi et les conséquences ne se firent pas attendre."

Nous sommes assez loin d'une stratégie d'offensive terrestre. Et il est difficile, autrement, de faire reculer le front, de contrôler le territoire et de protéger les populations et les territoires. Il est impossible autrement de libérer le territoire russe, qui se trouve aujourd'hui occupé, au regard du droit national - à moins de relativiser la valeur de la Constitution russe et donc de l'étaticité.

Ces demi-mesures sont assez surprenantes, surtout qu'en face tous les moyens sont bons. Et les moyens les plus sales sont particulièrement  appréciés. Ainsi, les armes chimiques sont de retour dans ce conflit et il semblerait qu'elles soient régulièrement utilisées contre l'armée russe. Au début du mois, Pouchiline, le dirigeant de la région de Donetsk, avait lancé l'alerte en déclarant que dans la direction d'Ugledar et d'Artemovsk, les forces atlantico-ukrainiennes utilisaient des drones pour larguer des armes chimiques. Le Comité d'enquête de la Fédération de Russie a alors ouvert une enquête pénale sur ce sujet et a noté la présence de symptômes d'intoxication chez les militaires russes exposés.

Or, il ne s'agit pas d'une utilisation ponctuelle, mais d'une stratégie militaire régulière. En fin de semaine dernière, l'armée atlantico-ukrainienne a de nouveau largué des armes chimiques :

"Des militairs ukrainiens ont largué des munitions contenant une substance toxique inconnue sur les positions des troupes russes en direction d'Ugledar, a déclaré l'armée russe à RIA Novosti"


Pendant ce temps, Biden en Pologne accuse la Russie de commettre des horreurs, de faire plonger l'Europe dans la brutalité, et promet d'entraîner l'Europe toujours plus loin, jusqu'au combat ultime :
Biden a promis que les États-Unis et leurs alliés de l'OTAN resteraient inébranlables. "Notre soutien à l'Ukraine ne faiblira pas, l'OTAN ne sera pas divisée et nous ne nous fatiguerons pas".

Rappelant que le conflit est loin d'être terminé. S'il faut en effet tenir sur la durée, si la Russie est en effet confrontée à une coalition d'une véritable puissance militaire, politique et idéologique, cela ne doit pas être une raison de ralentissement, d'économie de soi et de fuite en avant vers une normalité sociale totalement décalée de la réalité du front, mais dont on attend un patriotisme sans frein - tout en étant parfaitement maîtrisable.

Si la Russie ne passe pas à la vitesse supérieure, elle ne pourra pas reprendre l'offensive et donc l'initiative et s'épuisera dans des réponses tactiques, sans maîtriser le déroulement du conflit.  

 

24 commentaires:

  1. Il n'y a pas d'omelette sans casser les œufs. Si vous permettez la livraison des armes occidentaux, vous allez subir les conséquences. Déjà longtemps que une isolation des territoires ukrainienne à du être fait, pour empêchement, des livraisons de armes.

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  2. Oui madame vous avez raison attendons que la Russie passe à la vitesse supérieure ce qui ne saurait tarder surtout que l OTAN est à court de munitions donc en fait l affaire est déjà pliée en faveur de la Russie , il faut être patient .

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  3. Je suis 100% d'accord avec vous . Dans plusieurs de mes commentaires précédents je me demandais ce qu'attendait Valeri Guerassimov. Cela devient totalement incompréhensible que l'armée russe ne termine pas rapidement cette opération spéciale.Plus d'un an ! N'est-ce pas la procrastination habituelle du Président qui serait la raison profonde de l'inaction de Valeri Guerassimov ?

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  4. Il est certain que les Ukrainiens feront ce que "l'empire" leur ordonnera de faire. On le voit bien avec le discours de Manusanscouille 1er, devant Vador il s'applatit litérallement. La Russie le sait très bien, elle connaît l'idéologie qui anime ce conflit depuis longtemps.

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  5. Poutine a dit clairement hier dans son discours sur l'état de l'Union qu'il avait tout son temps.

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  6. Ela fait longtemps qu'on peut douter de l'authenti6de cette guerre du point de vue des dirigeants des 2 bords.
    Sur lz terrain c'est certain on est veritablement dans yne sale guerre de plus.
    Mais tant que le kremlin poursuivra son allegeance a l'OMS, sa 0olitiuqe de numerisation de l'identite et de mise en place d'une monnaie numerique par la banque centrale et son soutien a toutes les personalites ouvertement mondilaistes et prodavos, il ne sera pas possible de croire a une quelconque albition de souverianete au servi e du peuple russe

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    1. Effectivement, un certain nombre de problèmes se posent concernant la perméabilité de la Russie et de son gouvernement vis à vis des projets davossiens et globalistes

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  7. sérieusement? https://crowdbunker.com/v/u5KyqMcW1j

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  8. Vous avez raison. C'est la stagnation.

    Cela ressemble à la drôle de guerre conduite par l'armée française entre le 1er septembre 1939 et l'attaque décisive de l'ennemi de mai 1940.

    Ce n'est pas une éloge.



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  9. Info parue sur le blog Colonel Cassad

    La tactique des forces armées ukrainiennes pour l'utilisation d'armes chimiques est similaire au largage habituel d'une mine terrestre depuis un UAV, mais dans ce cas, ils larguent un conteneur avec un pulvérisateur. Dans d'autres cas, le corps du drone était lubrifié avec une substance toxique - au contact de la peau et au contact de la muqueuse, une forte détérioration du bien-être a été enregistrée.

    À la suite d'un contact avec des substances toxiques, certains combattants dans les directions Artyomovsky et Uglegorsk ont ​​commencé à vomir, se sont largués les yeux et ont subi de graves convulsions.

    La substance toxique utilisée par les Forces armées est probablement le chlorure de cyanogène, une substance extrêmement toxique aux propriétés asphyxiantes.

    Dans certains cas, les forces armées ukrainiennes ont tenté d'utiliser de l'acide cyanhydrique, l'un des composants du gaz Zyklon-B, qui était utilisé dans les chambres à gaz des camps de concentration SS pour tuer des prisonniers de guerre et des civils.

    La preuve indirecte de l'utilisation d'acide cyanhydrique est une vidéo des Forces armées ukrainiennes, qui montre comment des militants fabriquent des conteneurs avec des pulvérisateurs dans des conditions artisanales et stockent le remplissage chimique dans un réfrigérateur conventionnel.

    Le chlorure de cyanogène est un gaz incolore à odeur piquante et extrêmement toxique. Appartient à la deuxième classe de danger. Vénéneux mortel.

    Les symptômes d'exposition au chlorure de cyanogène comprennent la somnolence, la rhinorrhée, le mal de gorge, la toux, la confusion, les nausées, les vomissements, l'œdème, la perte de conscience, les convulsions, la paralysie et la mort. Les symptômes peuvent être retardés.

    En cas d'empoisonnement au chlorure de cyanogène, un antidote, tel que le nitrite d'amyle, doit être utilisé dès que possible. Cela réduira le risque de décès. Un traitement complet n'est possible que sous la supervision de médecins.

    @milchronicles
    192.1Kvues., 19:1
    ******
    La Russie dispose d'un siège au Conseil de sécurité de l'ONU. Ce dossier de l'usage de produits chimiques par Kiev y a-été-t-il évoqué ?

    En plus, dans le budget 2023 de la défense US, 192 millions de $ sont consacrés à l'acquisition de vêtements de protection "chimiques" etc.... destinés à Kiev...... Donc l'utilisation d'armes proscrites est approuvée par les USA car les vêtements de protection individuels permettent de manipuler les produits toxiques et de les balancer....

    ****

    En attendant que l'ONU se saisisse de la question, qu'elle diligente une enquête, des vêtements de protection individuels ont-ils été prévus pour les soldats russes ?





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  10. J'ai trouvé l'info sur VK
    Portefeuille de l'état-major général
    .
    Portefeuille de l'état-major général
    20 déc. 2022 à 8:58
    Par ailleurs, le projet de budget américain (https://vk.com/shtab24?w=wall-206639135_593785) pour 2023 prévoit 126 millions de dollars pour se préparer aux incidents nucléaires et radiologiques en Ukraine.

    Портфель Генштаба
    20 déc. 2022 à 8:58
    Отдельно стоит отметить, что проект бюджета США (https://vk.com/shtab24?w=wall-206639135_593785) в 2023 году предполагает выделение $126 млн на подготовку к ядерным и радиационным инцидентам на Украине.

    Pour votre info

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  11. Tous les jours, les populations civiles de la RPD et de la RPL sont bombardées. Les médias russes diffusant en Occident devraient en faire état et trouver des relais .
    *****
    Ce n'est pas le cas. Il faut aller voir ailleurs.

    Dans les années, il y avait "Radio Caroline" qui émettait d'un bateau ancré dans les eaux internationales. La Russie ne pourrait-elle pas s'inspirer de cet exemple pour se faire connaître ?

    Exemple sur un site télégram

    @tankist4

    Les forces armées ukrainiennes tirent sur des bébés et des personnes âgées

    Les nazis ont tiré 10 roquettes du MLRS de style OTAN dans le quartier Petrovsky de Donetsk. Il n'y avait pas de militaires à l'école où l'APU bombardait.

    Une famille avec deux jeunes enfants a miraculeusement survécu. Le verre a volé dans l'appartement. 8 immeubles d'habitation ont été endommagés dans le quartier, il est partiellement hors tension, une femme a été blessée.

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  12. Votre opinion est précieuse car vous êtes informée. Vu de Sirius, les uns acceptent que l'armée avance lentement pour épargner les civils restés chez eux, ou au contraire les yaka fokon exigent que Moscou rase Kiev avec une bombe atomique. Merci donc, Karine, de vos informations et opinions qui encore une fois redressent nos erreurs.

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  13. Sans compter, que du côté de la Moldavie, cela commence à s'agiter...

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  14. La question est : le kremlin a-t-il vraiment envient de continuer ?
    Poutine a dit qu'ils avaient tout leur temps. Quelle erreur tactique ! Les accords de Minsk ne l'on visiblement pas vacciné.
    À un moment donné, à force de piétiner, de se faire laminer sans bouger, les troupes finiront par perdre confiance en leur mission et déserteront le champ de bataille pour sauver leurs peaux.
    Qui pourra les blâmer, se faire gazer en toute impunité sans réponse radicale de l'état-major en démotiverait plus d'un.
    Il n'y a que deux solutions pour débloquer la situation : soit ouvrir un autre front à la frontière nord de l'Ukraine (vers Kiev, serait le plus efficace), soit sur le front actuel avec le tapis de bombes et l'avancée des troupes dans la foulée.
    La tactique actuelle est trop couteuse en vie et en matériel, il est temps d'arrêter de tergiverser et de passer vraiment à l'action. Sinon, d'ici peu, les forces de l'Otan seront à la frontière de la Crimée et aux portes de Donetsk et de Lougansk.

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    1. Apparemment, la tactique actuelle est de supprimer des postes de tir dirigés vers les populations des villes de la RPD. Des postes de tir qui ont été fortifiés sur les conseils de l'OTAN depuis 2014.

      Le SG de l'OTAN a reconnu récemment l'engagement de l'Organisation depuis 2014 mais les européens de "base" l'ont appris en 2023....

      "L'omission" de cette information est une caractéristique des élites gouvernementales occidentales. Que nous cachent-ils encore ?

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    2. Les ressources de l'OTAN militaires, financières, industrielles et démographiques, sont supérieures de plusieurs fois à celles de la Russie qui se bat seule ou pratiquement.
      Avec un tel rapport de force, une guerre conventionnelle prolongée n'est absolument pas en faveur de la Russie, qui s'épuisera en premier.
      Sa seule option pour rétablir l'équilibre restera le recours à l'arme atomique.
      Il n'y a rien de difficile à comprendre.
      Pourtant certains nous répètent à l'envie que la Russie peut prendre tout son temps.
      Il y a comme une erreur quelque part dans l'équation.

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    3. @Anonyme24 février 2023 à 00:31
      Vous avez un raisonnement de gestionnaire devant une feuille de calcul Excel, et vous avez raison sur le plan du rapport de force économique et financier. Mais si on applique ce raisonnement dans le conflit USA-Afghanistan, on s'aperçoit que la réalité démontre le contraire. Donc, il faut en revenir aux fondamentaux : pour gagner une guerre (militairement), on a besoin au minimum de 2 choses :
      1 - des soldats bien entraînés et bien équipés
      2 - des munitions
      L'état des pertes de chaque côté est en faveur des Russes (Cf le tableau en début d'article ici
      https://www.voltairenet.org/article218862.html)
      Jens Stoltenberg a reconnu à contre-coeur que les stocks de munitions des alliés de l'OTAN sont presque à zéro et qu'il faudra environ 28 mois pour les renouveler, au rythme où elles sont consommées sur les théâtres des opérations en Ukraine. Donc il n'y a pas d'erreur dans l'équation.
      LA Russie a déjà dit qu'elle n'avait pas besoin d'utiliser d'armes nucléaires pour ce type de conflits (elle ne s'en servira que si on l'attaque avec des bombes atomiques). Donc, la question est : l'OTAN va-t-il se servir de ses bombes atomiques B61-12 qu'elle livre en ce moment sur ses bases européennes ? Personnellement, j'en doute fortement.

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  15. A la lecture du post et des commentaires l on s apercoit que le doute sur la pertinence de la strategie russe semble s instaurer a cause d une certaine stagnation . Ou en est la grande offensive de printemps que l on nous a fait miroiter
    Moi aussi je partage ces interrogations inquietes et commence a douter rien de pire que le doute pour demotiver le camp russe et regonfler le camp adverse lequel vient de beneficier de l envoi de canons a longue portee qui causent de terribles degats aux populations civiles que l on voulait epargner

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    1. La Russie n'a jamais déclaré qu'elle allait se lancer dans une grande offensive hivernale, ce sont les Américains et les Ukrainiens qui l'ont déclaré. Par contre, les Russes ont tout ce qu'il faut pour le faire. Mais ils ont déclaré qu'ils voulaient prendre leur temps dans ce qui est aujourd'hui une guerre de position et d'usure. C'est de la tactique militaire et ne comptez pas sur Choïgou ou Gerassimov pour vous expliquer leurs plans. LOL.

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  16. Nos pauvres amis russes pensent que l'Occident finira par négocier de guerre lasse.
    Les dirigeants Russes font régulièrement des appels du pied pour une négociation équitable où chacun sauverait la face.
    Ils n'ont pas perdu leur fol espoir.
    Cela viendra en son temps se disent-ils.
    Quand les munitions manqueront
    Quand l'élévation du coût de la vie sera insupportable en Europe.
    Quand les pertes ukrainiennes atteindront un certain seuil.

    Erreur de jugement fatale .
    Le format même de leur expédition militaire en Ukraine démontre cette grave méprise .
    150.000 hommes au début, ça devrait faire l'affaire.
    Le peuple d'Ukraine est notre frère après tout.
    Et puis on rajoute un petit coup de 300.000, parce que ça n'est plus tenable contre un ennemi supérieur en nombre et finalement hautement qualifié et déterminé pour défaire l'armée russe.
    Sans parler des errements tactiques.
    On tourne en rond à l'est, on évite de détruire les infrastructures ennemies, puis on se reprend à moitié.
    Pas de lignes claires, personne ne peut dire avec certitude quels sont les buts de guerre russes, eux-mêmes probablement ne le savent pas.

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    1. Ah on vient de trouver le digne successeur du Général Maurice Gamelin..."Levez-vous, en rangs serrés, et garde-à-vous !"
      LOL

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  17. Le recours aux armes chimiques ne dérange pas les atlantistes. Nouvelle information découverte ce matin sur le site du Ministère de la Défense russe : " le 10 février 2023, un train est arrivé en Ukraine (Kramatorsk), dont l'un des wagons contenait une cargaison de produits chimiques, accompagné d'un groupe de citoyens étrangers.

    ◽️La voiture a été dételée et remorquée sur le territoire de l'usine métallurgique de Kramatorsk qui porte son nom. Kuibyshev, où, sous le contrôle du service de sécurité ukrainien et des représentants du commandement des forces armées ukrainiennes, le déchargement de produits chimiques a eu lieu.

    ◽️La cargaison se composait de 16 boîtes métalliques scellées, dont huit portaient un signe de danger chimique, l'inscription B-Zet et un marquage avec deux lignes rouges, ce qui correspond à la classe des substances toxiques à effet détoxifiant temporaire. Cinq cases portaient l'inscription "CS - RAYOT", trois - "CR - RAYOT" avec un marquage en forme d'une seule bande rouge, qui correspond à des substances irritantes.

    ◽️La cargaison a été placée sur des véhicules blindés de fabrication américaine qui, dans le cadre de la colonne, ont avancé jusqu'à la ligne de contact.

    ◽️Le 19 février, 11 wagons chargés de munitions d'obus avec des marquages ​​​​spéciaux ont été déchargés à Kramatorsk. Le déchargement a été effectué de nuit sur une plate-forme en banlieue, tandis que les wagons étaient marqués des inscriptions "Matériaux de construction", "Ciment".

    ◽️Selon les informations disponibles au ministère russe de la Défense, plus tôt, dans l'intérêt des forces terrestres américaines, des obus d'obus équipés de sous-munitions prêtes à l'emploi contenant des formulations liquides de substances irritantes ont été modernisés.

    ◽️Les faits de la livraison simultanée de produits chimiques toxiques et de moyens de protection contre eux indiquent une tentative de provocations à grande échelle en utilisant la substance toxique psychotrope militaire Bi-Zet pendant le conflit.

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  18. Armes chimiques US suite : "conformément à la Convention sur l'interdiction des armes chimiques, la substance Bizet est un produit chimique contrôlé et figure dans la deuxième liste, son utilisation est interdite par l'article 1 de la CAC.

    ◽️Ce produit chimique provoque une psychose aiguë, une désorientation, des hallucinations, des troubles de la mémoire.

    ◽️L'agent B-Zet est l'agent chimique standard de l'armée américaine et a été largement utilisé pendant la guerre du Vietnam.

    ◽️ Les États-Unis et leurs alliés ont utilisé à plusieurs reprises des munitions à formulation chimique lors de conflits militaires en Afghanistan, en Irak et en Syrie.

    ◽️Les États-Unis ont annoncé la destruction complète des stocks de B-Zet en 1990, lorsqu'environ 50 tonnes de cette substance ont été éliminées, mais les échantillons ont été laissés. De plus, à l'heure actuelle, la possibilité de synthétiser des précurseurs de Bi-Zet sur la base d'installations de production pharmaceutique pouvant atteindre plusieurs dizaines de tonnes par an a été préservée. "

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