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mardi 25 octobre 2022

Bataille d'Ukraine : Pourquoi les Etats-Unis et leurs satellites ont-ils besoin d'agiter la menace nucléaire contre la Russie ?


La facilité avec laquelle les médias français (à l'unisson), reprenant le discours atlantiste, envisagent une frappe nucléaire à Kherson est non seulement malsaine, mais inquiétante. Cette rhétorique, propagée sous couvert des propos de l'ambassadeur d'Ukraine en France, cache mal cette provocation nucléaire atlantiste, dont la Russie s'inquiète et qui pourrait avoir des conséquences significatives, non seulement pour la suite du conflit, mais en ce qui concerne les relations internationales pour une longue période à venir. Car si les relations entre les pays atlantistes et la Russie sont déjà au plus mal, nous atteindrions alors un point de non-retour. Pour les générations à venir.

Difficile de trouver ces derniers jours un média français, qui ne soulève pas avec tout le sérieux de circonstance la question du recours à l'arme nucléaire par la Russie à Kherson. Kherson, où l'armée russe a arrêté toutes les offensives de l'armée atlantico-ukrainienne ces derniers temps, lui causant des pertes significatives et en hommes et en armements. Kherson, que la Russie a intégré dans son territoire national. 

Quel serait alors l'intérêt pour l'armée russe de recourir à l'arme nucléaire sur son propre territoire, sur sa propre population ? Aucun, en revanche provoquer une explosion nucléaire à Kherson, qui serait ensuite imputée à la Russie entrerait parfaitement dans l'intérêt du clan atlantiste : la Russie deviendrait un Etat criminel pour avoir utilisé l'arme nucléaire (puisque son utilisation n'est manifestement légitime que pour les Etats-Unis, qui ne portent aucune responsabilité pour ce crime) ; la Russie perdrait des alliés, déjà peu courageux, sur la scène internationale ; un grand show politico-médiatique serait lancé, à côté duquel le crash du Boeing de la Malaysia Airlines dans le Donbass, ayant conduit à l'arrêt net de l'avancée de l'armée du Donbass, serait un conte pour les enfants ; et ainsi, en fin de compte, les Etats-Unis tenteraient, de surcroît avant les élections intermédiaires,  de réduire à néant les efforts de la Russie pour renverser la situation, qui commencent par ailleurs à porter leurs fruits (les référendums d'intégration, les bombardements de sites stratégiques et énergétiques en Ukraine, le renfort d'hommes, etc.). 

Le but de cette provocation nucléaire pour le clan Atlantiste serait de produire un choc, psychologique et politique, d'une telle intensité, qu'il remanierait et brouillerait totalement les cartes concernant la Bataille d'Ukraine.

C'est bien dans cette logique, que la Russie prévient des dangers de la tentation de l'utilisation d'une bombe sale par l'armée atlantico-ukrainienne à Kherson - ou ailleurs. Sans même parler du désastre humain et écologique suite à la contamination pour une longue période, cela sonnerait également l'entrée dans une très longue période glacière entre les Atlantistes et la Russie. Ces derniers 5 jours, de nombreux coups de téléphone ont eu lieu entre le ministre russe de la Défense et son homologue américain, puis avec la France, la Grande-Bretagne et la Turquie. Le Chef de l'état-major russe a lui aussi, hier, passé la journée au téléphone avec ses homologues russes. La diplomatie est également entrée dans la danse, pour tenter de faire revenir tout ce petit monde à la raison. Voici un rapide résumé de la situation présentée hier après-midi sur le site d'information Tass

En ce qui concerne les déclarations du ministère russe de la Défense :

"Le ministère russe de la Défense a mis ses forces et ses moyens en état d'alerte pour agir "dans des conditions de contamination radioactive", car il dispose d'information concernant la volonté de Kiev d'utiliser une "bombe sale". (...) Le ministère de la Défense dispose d'informations, selon lesquelles Kiev envisage de faire exploser une "bombe sale" en Ukraine pour intimider les résidents locaux et accuser Moscou d'utiliser des armes nucléaires tactiques. Le plan de la partie ukrainienne, selon le ministère, est de faire passer l'explosion d'une "bombe sale" comme le "fonctionnement anormal d'une arme nucléaire russe de faible puissance". Selon le ministère, deux organisations ukrainiennes ont des "instructions précises" pour créer ces armes et leur travaux "sont au stade final".

De plus, comme l'a dit Kirillov, le ministère de la Défense dispose d'informations sur les contacts de l'Office du Président de l'Ukraine avec des représentants de la Grande-Bretagne "sur la question de l'obtention éventuelle d'une technologie pour créer des armes nucléaires". L'Ukraine, a souligné le général, possède des matières premières pour la "bombe sale" dans ses centrales nucléaires, y compris Tchernobyl, et des entreprises minières, ainsi que la base scientifique nécessaire à Kiev et Kharkov."

En ce qui concerne le ministère russe des Affaires étrangères, Sergueï Lavrov a fait plusieurs déclarations :

"Les informations sur la préparation d'une "bombe sale" par Kiev ont été revérifiées, et ce n'est pas une vaine accusation de Moscou, a souligné Lavrov. Selon lui, la Russie a l'intention de soulever cette question à l'ONU.

Le ministre des Affaires étrangères a également assuré que la partie russe disposait d'informations sur des organisations ukrainiennes spécifiques impliquées dans la "bombe sale". Il ne les a pas nommées.

Les déclarations publiques de méfiance de l'Occident à l'égard des avertissements russes ne signifient pas que les informations de Moscou sont prises à la légère dans les discussions internes, a déclaré le ministre." 

En effet, tous les pays atlantistes, en choeur et bien disciplinés, ont immédiatement déclaré n'être au courant de rien et les Etats-Unis, avec la France et la Grande-Bretagne se sont fendus d'une déclaration commune ne laissant aucun doute, quant à leur intention d'aller jusqu'au bout :

« Personne ne serait dupe » si Moscou prenait prétexte de l’emploi par Kiev d’une « bombe sale » évoqué par le gouvernement russe, affirment Paris, Londres et Washington dans une déclaration conjointe. Dans ce texte, les trois ministres des affaires étrangères « rejettent les allégations, à l’évidence fausses, de la Russie selon lesquelles l’Ukraine se prépare à utiliser une bombe sale sur son propre territoire. Personne ne serait dupe d’une tentative d’utiliser cette allégation comme prétexte à une escalade ».

La Russie s'est adressée à l'ONU, demandant une réunion du Conseil de sécurité sur cette question pour aujourd'hui, mardi 25 octobre. Selon Nebenzia, le représentant de la Russie à l'ONU, l'utilisation d'une bombe sale serait considérée par la Russie comme un acte de terrorisme nucléaire.

L'escalade du conflit continue son cours, puisqu'il ne peut être question de concession, comme le reconnaissent les Etats-Unis eux-mêmes - c'est l'existence de leur monde, qui est en jeu. 

 



19 commentaires:

  1. Quitte à déclencher une escalade nucléaire incontrolable, les fous ukrosnazis vont le faire. A Washington, on est trop sénile, arrogant, et cruel pour percevoir que la Russie a identifié depuis longtemps le cerveau de ce crime en devenir contre l'Humanité, et qu'au stade finale Washington n'existera plus.

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  2. Jean-Michel Grau25 octobre 2022 à 11:14

    Il y a quelque chose que je ne comprends pas : si les russes ont bien des informations précises comme quoi Kiev "envisage de faire exploser une "bombe sale" en Ukraine pour accuser Moscou d'utiliser des armes nucléaires tactiques", que ne détruisent-ils pas dès maintenant à coup de Kinjal les centres opérationnels censés fabriquer cette bombe avant qu'il ne soit trop tard ? Ce serait certainement plus utile que de crier au loup une énième fois à l'ONU, dont les russes savent bien qu'ils n'ont rien à attendre vu qu'elle est devenue le porte-parole de Washington... Les US sont des spécialistes des attaques sous faux drapeau depuis la guerre de Corée. Aujourd'hui, rien n'a changé :
    https://nouveau-monde.ca/lattaque-sous-faux-drapeau-une-specialite-americaine/

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    1. Je suis assez d’accord avec vous…

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    2. Au risque de contaminer l'endroit et les populations où se fabrique ces saloperies ?

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    3. C'est ça la diplomatie. Il faut ce canal pour prévenir le monde. Insister sur ce point. Ce bloc atlantiste joue avec le feu.

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    4. Même interrogation...

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    5. Je suis d’accord avec vous aussi .

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    6. Je suis de votre avis

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  3. Les Russes n'ont pas compris qu'une guerre d'anéantissement leur a été déclarée depuis le tout début.
    Ils ont cru pouvoir contenir la guerre à un échelon régional limité.
    La seule façon pour eux de désamorcer cet engrenage mortel aurait été de vaincre rapidement en Ukraine en quelques semaines, et de contrôler impérativement la frontière ouest de l'Ukraine par où passe le ravitaillement en hommes et en matériel.
    Les lenteurs et les hésitations russes n'ont fait que renforcer l'ennemi dans se conviction qu'il pouvait l'emporter.
    Maintenant il apparaît assez clairement que les choses iront jusqu'à leur conclusion logique, à savoir une extension et une amplification du conflit.
    Le false flag en préparation n'est qu'une étape, chère aux anglos, pour faire peser sur leur adversaire la responsabilité de la guerre.
    Avec à terme, en cas de défaite pour la Russie, un nouveau tribunal de Nuremberg qui se prépare pour ses dirigeants.

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  4. Cette menace d'une bombe sale me rappelle une histoire (je ne sais pas si elle est vraie) ; au début de la guerre du Kippour, le gouvernement de Golda Meir (une juive ukrainienne) avait menacé directement le polit buro de l'Union soviétique d'explosion de bombes sales en Russie si les soviétiques livraient des armes stratégiques, notamment des avions et missiles, aux pays arabes attaquant - avec un certain succès - Israël...

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  5. Je crois que la stratégie russe mise complètement sur le temps long. Il s’agit d’éviter le maximum de pertes civiles ukrainiennes par une sorte de solidarité historique avec un peuple frère, et pour défaire le plus possible le travail de propagande antirusse tellement efficace depuis huit ans. Ensuite, il s’agit d’attendre patiemment l’affaiblissement généralisé de l’Occident lentement privé de ressources, en perte d’influence politique, économique, diplomatique, en espérant une révolte des populations qui aggravera la situation jusqu’à forcer les gouvernements à négocier. Hélas, c’est méconnaître leur fanatisme. Ceux qui nous dirigent préféreront détruire la planète, éradiquer toute vie, plutôt que de subir la présence durable d’une seule société différente de la leur et qui entend bien le rester.

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    1. Se croyent ils immortels? Je ne crois pas que ces mêmes s'en sortiront s'il faut en arriver à ce point.

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  6. Bonjour, tout ceci est proprement effrayant, d'autant que la plupart des hypothèses avancées semblent réalistes, voire logiques. On aimerait que cela ne soit qu'un cauchemar dont on va se réveiller. Comment en sortir et revenir à la table de négociation, alors que les dirigeants de l'UE semblent simultanément atteints d'une même folie ? Par la médiation des BRICS et des pays non alignés ?

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  7. Les toutous UE, ministres de la Défense - France, Allemagne et Angleterre - se sont précipités pour clâmer l'innocence de Zé et incriminer la Russie, naturellement. Tous les moyens sont bons, la perspective de négociations n'est pas celle de Washington et tant que nous aurons des ministres et autres corrompus, russophobes, et d'une arrogance pathologiques, la guerre s'amplifiera. Elle s'amplifiera, jusqu'à un tournant qui montrera la supériorité russe, si supériorité avérée. Normalement, mais les dirigeants UE et les militaires vivent sur la planète pouvoir. Une drogue ultra-puissante...

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  8. D'après Donzalo Lira, il y aurai une autre cible possible, Nikolaev à coté de Kerson, étant donné le déploiement de la 101eme en Roumanie, pas loin donc, l'évacuation de Nikolaev (inédit de la part des Ukr) et qu'Odessa peut intéresser les USA, histoire de mettre l'Organisation Terroriste Atlantique Nord plus dans le bain.

    https://www.youtube.com/watch?v=Bw84nOmGLcw

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  9. Pourquoi les États-Unis et leurs satellites ont-ils besoin d'agiter la menace nucléaire contre la Russie ?
    Parce que eux-mêmes pourraient être susceptibles de l'utiliser, et, ... qui sait, d'en faire porter la responsabilité à la Russie.
    Depuis Hiroshima et Nagasaki, il était "impensable" qu'un État doté de l'arme nucléaire reproduise les mêmes horreurs en l'utilisant en tant qu'arme conventionnelle. Mais l'administration Bush a adapté sa stratégie en 2001 en raison des évolutions technologiques, puissances réglables des ogives, qui pourraient les rendre "acceptables"... :

    Le Nuclear Posture Review (NPR) 2018 de l’administration Trump a appelé au « développement de nouvelles armes nucléaires plus utilisables. »

    Le NPR 2018 est à bien des égards du Déjà Vu.

    Ce qui semble avoir échappé aux nombreux reportages des médias sur le NPR 2018 de l’administration Trump est que le développement d’ « armes nucléaires plus utilisables » avait déjà été mis en avant dans le Nuclear Posture Review 2001 de George W. Bush, qui a été adopté par le Sénat américain fin 2002. A cet égard, le sénateur Edward Kennedy avait accusé l’administration Bush d’avoir développé « une génération d’armes nucléaires plus utilisables », à savoir des armes nucléaires tactiques (mini-nucléaires B61-11) ayant une capacité explosive comprise entre un tiers et six fois celle d’une bombe atomique d’Hiroshima.

    Le terme « plus utilisable » émane du débat autour du NPR 2001, qui a justifié l’utilisation d’armes nucléaires tactiques dans le théâtre de guerre conventionnel sous le prétexte que les armes nucléaires tactiques, à savoir les bombes antibunker avec une tête nucléaire, sont « inoffensives pour la population environnante car l’explosion est souterraine », selon l’avis scientifique à la solde du Pentagone,

    Michel Chossudovsky, le 6 août 2019, le 3 août 2020
    https://www.mondialisation.ca/reunion-secrete-sur-la-privatisation-de-la-guerre-nucleaire-tenue-le-jour-dhiroshima-2003/5648146
    ------------------------------
    La grande tartufferie du cartel nucléaire
    « Le statut officiel non-déclaré de cinq puissances européennes »
    article original 13 Feb 2010 : EUROPE’S FIVE “UNDECLARED NUCLEAR WEAPONS STATES”
    by Michel Chossudovsky
    traduction Julie Levesque
    « Les États-Unis ont fourni environ 480 bombes thermonucléaires B61 à cinq soi-disant « États non dotés de l’arme nucléaire » : l’Allemagne, la Belgique, l’Italie, les Pays-Bas et la Turquie. »
    https://lautjournal.info/articles-mensuels/289/la-grande-tartufferie-du-cartel-nucleaire

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  10. Intéressante analyse, du moins vue (et voulue) sous l'angle atlantiste. Je présente ci-dessous une récapitulation de mon avis reprenant plus ou moins les éléments développés par notre hôte.

    1° point: pour des raisons évidentes, il convient d'éviter une optique purement occidentalisée et par là non représentative du reste du monde (la communauté internationale telle que décrite par les occidentaux n'a rien à voir avec l'ensemble de la communauté internationale réelle). On voit du reste de plus en plus de restrictions à la communauté favorable à l'occident, comme en témoigne en dernier lieu la position de l'Arabie Saoudite.
    Bref, il convient donc de se garder d'exagérer la portée des affirmations occidentales relayées par les media correspondants (auxquels de toute façon la Russie n'a pas accès, peu important ce qu'elle voudrait dire, c'est toujours le point de vue ukrainien qui prime, donc à quoi bon tenter l'impossible).
    Le but semble limité à la sphère occidentale afin de réorienter dans le "bon sens" l'opinion publique correspondante qui commence sérieusement à se lasser des conséquences des sanctions et donc de ce qui en est à l'origine officielle, la guerre en Ukraine, les délires de Zélenski n'arrangeant rien (à se demander même s'il n'est pas un agent russe tellement il se ridiculise et ridiculise par contrecoup ses sponsors, s'il n'y avait pas tant de morts).
    Dans cette vision, le simple fait qu'il ne se passe rien (c'est-à-dire pas de bombe sale au final voir le 3° point ci-dessous) pourrait, sur ce plan, apparaître aussi intéressant en privilégiant le fait que la Russie perd en quelque sorte la tête et délire.

    2° point: en avertissant en avance de la possible utilisation d'une bombe sale par l'Ukraine, la Russie désamorce le piège et place les complices occidentaux dans une situation de défense (les déclarations des autorités ukrainiennes sont certes reprises par les media occidentaux mais sans grande conviction). Cela rappelle les annonces russes de faux drapeaux islamiques en Syrie ce qui a très vite amené leur disparition.

    3° point: comme indiqué dans l'article, des appels téléphoniques ont eu lieu entre les autorités de la Défense russe et leurs homologues occidentaux, notamment américains, anglais et français. On ne sait pas ce qui s'est dit réellement, hors rapports "officiels". Il est fort possible qu'il y ait eu une mise au point sévère et menaçante de la Russie (d'où le fait que ce soient des militaires, Choïghu et Gerassimov, qui soient intervenus). Tout cela a conduit peut-être à calmer les esprits. Surtout que s'il ne se passe rien les occidentaux auront beau jeu de se moquer des Russes (mais la moquerie n'atteindra probablement pas le monde non occidental).
    De surcroît, une telle bombe n'arrêterait certainement pas l'effort mlilitaire russe bien au contraire. Elle le justifierait encore plus.
    On pourrait penser au but d'accroître encore les sanctions, mais est-ce possible au point où elles en sont? La position chinoise ne changera pas, Xi ayant été reconduit dans ses fonctions. Décidément je ne vois rien de positif dans le fait pour l'occident d'aider l'Ukraine à mettre en oeuvre une bombe sale et à en accuser la Russie. Sauf à y voir une "habitude" occidentale soulignée d'ailleurs pas la Russie et consistant à invoquer l'interdit (attaque chimique ou, ici, nucléaire) pour justifier une relance militaire ou Dieu sait quoi d'autre comme en Syrie (mais l'Ukraine n'est pas la Syrie, et la Russie actuelle est bien plus puissante que la Russie de 2015). Ou sauf à y voir la marque de la faiblesse (comme en Syrie) ou simplement la panique.

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  11. Tout ça pour défendre des frontières político- administratives créées artificiellement par les Soviétiques ! Les Occidentaux vraiment ne savent plus où ils habitent !

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  12. 2 points également à ne pas négliger et forts peu mis en avant malgré leurs importance cruciale:-Quel Rôle jouent-ils vraiment quand on sait que Poutine faisait parti jusqu'à récemment des mondialistes du forum de Davos favorable à la mise en place d'un gouvernement mondial unique dont l'objectif unique et l'asservissement des peuples et la réduction de la population mondiale ?-Au vu des simagrées médiatiques infantiles des élites et médias occidentaux,et tenant compte du pitoyable Etats de "TOUTES" les armées européennes en matières de formation, nombre de soldats vraiment opérationnels , munitions, état de préparation à un conflit de très haute intensité,et sans oublier les éventuelles réactions des autres pays tels que la Chine mais également les anciennes colonies européennes revanchardes (chose que l'on peut comprendre), ne sommes-nous pas en réalité dans un méga bluff mondial à l'image du bluff de la pandémie de COVID, du bluff climatique ( nous n'allons pas vers un réchauffement mais bien vers un refroidissement (mini âge glaciaire) prévu comme par hasard entre 2030 et 2045),du bluff spéculatif de la crise économique, et du bluff des coupures énergétique dont on sait pertinemment que la spéculation en est l'unique raison ?

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