La Mairie de Moscou reprend le même schéma que l'année dernière et remet en place un décompte très très inclusif du Covid : tout virus respiratoire sera a priori compté comme du Covid, sauf preuve du contraire. La présomption de culpabilité dans toute sa splendeur. Tout homme est donc un malade ... qui s'ignore, et pas uniquement à Moscou. Qu'avons-nous fait pour tomber ainsi dans le monde merveilleux du Docteur Knock ?
La machine a besoin de viande fraîche pour faire tourner les statistiques. Sinon, comment justifier la vaccination obligatoire et la ségrégation sociale sur critère vaccinal, qui a commencé dans nos pays ?
Qu'à cela ne tienne, la bonne vieille (pas si vieille) recette de l'année dernière est remise à l'ordre du jour - rappelons le décompte inclusif. Désormais, et à nouveau, toute personne qui a un rhume, n'importe quel virus respiratoire, entre automatiquement dans le décompte des Elus covidés ... jusqu'à preuve du contraire par test. Et ces dangers mouchant et éternuant sur pattes doivent être confinés, jusqu'à preuve certaine qu'ils ne constituent pas un risque vital pour l'avenir de l'humanité moscovite.
N'ayons aucun doute que le renforcement de l'hystérie politico-médiatique, ajoutée aux mesures hautement sanitaires comme l'interdiction de soins hospitaliers pour les non-vaccinés, sauf urgence, aidera à faire monter la pression dans une population, qui ne se bouscule pas dans les zones "sans covid" pour vaccinés ni pour se faire vacciner sous la contrainte. En revanche, la santé publique en prendra un coup. Mais existe-t-il seulement des gens réellement en bonne santé ?
Comme le déclarait très justement le très actuel docteur Knock :
""Tomber malade", vieille notion qui ne tient plus devant les données de la science actuelle. La santé n'est qu'un mot, qu'il n'y aurait aucun inconvénient à rayer de notre vocabulaire. Pour ma part, je ne connais que des gens plus ou moins atteints de maladies plus ou moins nombreuses à évolution plus ou moins rapide."
Cette célèbre pièce de théâtre de Jules Romains de 1923 est plus que jamais d'actualité. En France, le ministère de la santé trafique à qui mieux mieux les statistiques de mortalité liées au SARS-Cov2 depuis un moment. On n’y fait pas analyses légales post-mortem après un décès déclaré comme dû au Covid et le corps est envoyé directement aux pompes funèbres pour incinération (du moins ça l’était en 2020) sans autopsie. Impossible donc de vérifier la cause du décès, au mépris de l’information objective de la famille du défunt. Certaines rumeurs ont été propagées comme quoi les médecins généralistes et les hôpitaux recevaient de l’argent du ministère de la santé pour chaque déclaration de décès par Covid (les fameux 3 à 5 k€ dont il a été question dans certains médias l’an dernier), même si cette information est difficile à vérifier (pour les généraliste, elle est vraie ou l’a été), les caciques de ce ministère faisant tout pour opacifier un système géré avec autant de transparence que celui d’une république bananière.
RépondreSupprimerJe constate avec surprise que la même chose a lieu en Russie (mais au moins, l’autopsie est-elle obligatoire). Poutine semble submergé par son « Deep State ». A-t-il fait son temps ?
PS : pour les statistiques, Xavier Moreau a fait un topo dans son avant-dernière vidéo et montre que les chiffres communiqués par les officiels russes sont bidonnés comme en France : https://odysee.com/@STRATPOL:0/bulletin-sp%C3%A9cial.-d%C3%A9mographie-2020,:4?
Je me demande aussi pendant combien de temps la Biélorussie pourra se maintenir à l'écart de cette psychose institutionnalisée. On ne constate rien de tel à Minsk jusqu'à preuve du contraire, non ? Le contraste est quand même frappant.
RépondreSupprimerOui, comme vous, les assez nombreux "exilés Covid" occidentaux qui sont venus depuis un an, l'un après l'autre, en Biélorussie, à Minsk en particulier, et à un moment ou un autre, ont décidé d'y rester, se posent la même question.
RépondreSupprimerZéro Décibel.
Si Poutine flanche bien devant les globalistes, la Biélorussie a aussi du souci à se faire, en commençant par son Président...
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